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(Ninon) The sound of silence
:: Elysium, la cité reine :: L’ARC D’ARGENT :: LE PORT
2 participants
Hybride du Printemps
Pseudo : enfant sauvage
Pronoms irl : (elle, iel)
Faceclaim : Jack O’Connell + adrastee (ava), kadygrants (gif), alcara (signa) et primaluce (aes)
Comptes : Cesare, Revka, Adrielle & Atlas.
Messages : 339
Aeskells : 823
Triggers : A discuter.
Contents : Abandon d’enfant, violence, meurtre.
Pronom : IL
Âge : 91 YO
Race : HYBRIDE
Cour : PRINTEMPS
Résidence : ELYSIUM
Occupation : LIEUTENANT — chez les Marchands de Sable, princes des rues d'Elysium et seigneurs parmi les insoumis.
Statut social : FILS DE RIEN
Statut civil : SEUL
Orientation sexuelle : HETERO
Âme sœur : ELLE
Allégeance : AUX MARCHANDS DE SABLE
Aesthetic 1 :
Aesthetic 2 :
Aesthetic 3 :
Staff
je gère la place
Peuple
nous sommes légions
Printemps
fidèle à la cour du printemps
Terre
magie du printemps
Sandman
famille pour les exclus
Ancien·ne
j'étais là avant le reboot
Multicompte
j'me suis dédoublé·e
En PLS
jamais à jour
Reliques & chaos
J'ai tenté de voler la Coupe
The sound of silence
Il répond à son baiser avec un brin de désespoir. Chaque fois que Ninon s’invite chez lui, auprès de lui, il savoure les instants qu’ils partagent avec ce même désespoir. Avec l’ombre de cette possibilité qu’il la voit peut-être pour la dernière fois. Cette évidence est dans le fond de son esprit à chaque fois. Après tout, leurs occupations respectives les propulsent trop souvent dans des situations risquées. Il savait à l’époque, en prêtant ses vœux aux Marchands de Sable, qu’il donnerait sans doute sa vie à la cause un de ces quatre. Il le savait même avant la venue de Ninon, mais sa présence n’avait rien changé. Ninon savait aussi dans quoi elle s’embarquait lorsqu’elle avait choisi de faire faux bond aux Marchands et de rejoindre les Chevaucheurs.
Sylas s’apprête à répliquer, mais elle ne lui en laisse pas le temps, fondant sur lui pour lui arracher des baisers fiévreux. Le voyou répond à chacun d’entre eux, laisse ses mains remonter dans le dos de la chevaucheuse, se poser sur sa nuque, s’enfoncer dans la noirceur de ses cheveux pour approfondir l’étreinte dans laquelle ils sont plongés. Il voudrait s’abreuver d’elle, s’imprégner de sa présence pour ne plus jamais oublier comme les choses sont douces lorsqu’ils se laissent enfin aller pour ignorer tout le reste. La divergente le repousse vers le canapé. Il s’y effondre sans protester, son regard s’accrochant à celui de Ninon qui s’approche d’une façon presque prédatrice pour venir se caler sur ses genoux.
Les lèvres de Ninon ne sont que l’une des choses qui viennent le submerger alors. Le contact de sa bouche contre la sienne, la moiteur de son souffle se mêlant au sien, la chaleur de ses cuisses contre les siennes, la pression de corps contre le sien. Sylas peut déjà sentir le désir fleurir en lui, comme si chaque fibre de son être le suppliait de fusionner avec cette femme que la Mère a choisi pour le compléter. «Tu m’as tellement manqué, souffle-t-il entre deux baisers. Si tu savais comme j’ai envie de te sentir contre moi… Comme je crève de sentir l’odeur de ta peau sur la mienne… » Sa voix tremble de désir alors que ses mains glissent dans le dos de la divergente, se posant contre son bassin pour lui laisser sentir à quel point il a envie d’elle.
Leurs lèvres se séparent, et il cherche un éclat de permission dans le regard de son âme sœur. Celle de l’effeuiller lentement pour pouvoir admirer la blancheur de sa peau dans la pénombre de cet appartement miteux, pour pouvoir goûter à son corps à l’abri des regards, dans le plus grand des secrets… Pris d’une impulsion de la sentir aussi près de lui que possible, il balance sa chemise sale sur le plancher et laisse ses doigts glisser sous celle de Ninon, la chaleur de sa peau amenant presque un tremblement. «J’te demanderai jamais de rester pour toujours, mais dis-moi que tu resteras cette nuit ? lâche-t-il, son regard passant du visage de Ninon vers sa silhouette dont il voudrait observer chaque couture, dont il voudrait sculpter chaque courbe pour ne plus jamais les oublier. Dis-moi que tu resteras dans mon lit ce soir même si tu dois disparaître avant que j’ouvre l’œil demain matin… »
Certains diraient peut-être que cette once de supplication qui pointait dans le ton de sa voix était pathétique, qu’il n’aurait pas dû laisser une femme avoir tant de pouvoir sur lui, mais toutes les parties de Sylas réclamaient une confirmation que Ninon ne partirait pas tout de suite, qu’elle le désirait autant qu’il la désirait.
Sylas s’apprête à répliquer, mais elle ne lui en laisse pas le temps, fondant sur lui pour lui arracher des baisers fiévreux. Le voyou répond à chacun d’entre eux, laisse ses mains remonter dans le dos de la chevaucheuse, se poser sur sa nuque, s’enfoncer dans la noirceur de ses cheveux pour approfondir l’étreinte dans laquelle ils sont plongés. Il voudrait s’abreuver d’elle, s’imprégner de sa présence pour ne plus jamais oublier comme les choses sont douces lorsqu’ils se laissent enfin aller pour ignorer tout le reste. La divergente le repousse vers le canapé. Il s’y effondre sans protester, son regard s’accrochant à celui de Ninon qui s’approche d’une façon presque prédatrice pour venir se caler sur ses genoux.
Les lèvres de Ninon ne sont que l’une des choses qui viennent le submerger alors. Le contact de sa bouche contre la sienne, la moiteur de son souffle se mêlant au sien, la chaleur de ses cuisses contre les siennes, la pression de corps contre le sien. Sylas peut déjà sentir le désir fleurir en lui, comme si chaque fibre de son être le suppliait de fusionner avec cette femme que la Mère a choisi pour le compléter. «
Leurs lèvres se séparent, et il cherche un éclat de permission dans le regard de son âme sœur. Celle de l’effeuiller lentement pour pouvoir admirer la blancheur de sa peau dans la pénombre de cet appartement miteux, pour pouvoir goûter à son corps à l’abri des regards, dans le plus grand des secrets… Pris d’une impulsion de la sentir aussi près de lui que possible, il balance sa chemise sale sur le plancher et laisse ses doigts glisser sous celle de Ninon, la chaleur de sa peau amenant presque un tremblement. «
Certains diraient peut-être que cette once de supplication qui pointait dans le ton de sa voix était pathétique, qu’il n’aurait pas dû laisser une femme avoir tant de pouvoir sur lui, mais toutes les parties de Sylas réclamaient une confirmation que Ninon ne partirait pas tout de suite, qu’elle le désirait autant qu’il la désirait.
juin 837 avec @Ninon Bayl'doren ∙ code par alcara
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mister sandman
I'm so alone. Don't have nobody to call my own. They turned on their magic beam. Mr Sandman brought me a dream...
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