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[FB] Show must go on | Kora
2 participants
Hybride de l'Aube
Pseudo : ARKHAN
Pronoms irl : [ELLE]
Faceclaim : paola cossentino [AV] bycosmiclight [GIF] ellaenys [ICONS] ellaenys
Comptes : [HASE]
Messages : 280
Aeskells : 1244
Triggers : [RAS] je peux tout lire.
Contents : [TW] expérimentations scientifiques, sévices physiques et psychologiques, mutilations, déviance mentale, violence, meurtres.
Pronom : [ELLE]
Âge : [42 ANS] qu'elle foule la terre vaine, semant cadavres et désolation dans son sillage.
Race : [HYBRIDE] aux oreilles pointues et aux ailes arrachées. stigmates d'un passé torturé qui n'a de cesse de la pourchasser.
Cour : [APATRIDE] aucun seigneur ne mérite sa loyauté, et elle se surprend même à rêver de tous les voir flamber.
Résidence : [ELYSIUM] sa zone de jeu, son terrain de chasse.
Occupation : [DANSEUSE] au sein du cabaret le Soleil de Minuit ; [ASSASSIN] régie par sa folie, ou par les désirs des Sandmen.
Statut social : [VERMINE] qui n'a jamais su où était sa place et qui erre de caniveaux en caniveaux.
Statut civil : [SEULE] trop sauvage pour se laisser dompter. le cœur trop souvent trahi et le corps meurtri par trop de tragédies.
Orientation sexuelle : [PANSEXUELLE] qui ne se l'avoue pas encore vraiment, rechignant bien trop souvent à se laisser aller.
Âme sœur : [ULYSSE] la Mère sait se montrer sarcastique, car il représente exactement tout ce qu'elle abhorre.
Allégeance : [ELLE-MÊME] avant tout. car les trahisons laissent un goût amer qu'il est impossible de faire disparaitre ; [SANDMEN] tant que leurs aspirations convergent avec les siennes.
Aesthetic 1 :
Aesthetic 2 :
Aesthetic 3 :
Peuple
nous sommes légions
Automne
fidèle à la cour de l'Automne
Chair
magie de l'aube
Sandman
famille pour les exclus
Arc-en-ciel
perso LGBTQ
Multicompte
j'me suis dédoublé·e
Show must go on
tw: Ø | @Kora Shomari | mars 837
- sous les traits d'une prostituée nommée Mako:
(c) pastbreathing
En réalité, elle sait très bien de qui elle va prendre l’apparence. Parce qu’à force d’errer dans la maison close et d’écouter les conversations, elle a très vite compris qu’il y aurait une favorite. Hortense réservait à ces messieurs son plus gros diamant. Sa plus tendre pépite. Son joyau le plus éclatant. Elle s’appelait Mako. Difficile de ne pas en déduire qu’il s’agit d’une fille de l’Aube. D’une de leur compatriote. Sa cible est vraisemblablement plus attirée par les dames de sa Cour plutôt que par l’exotisme des autres. Et Hortense, après avoir deviné ses préférences, lui a forcément réservé son met le plus exquis. Ces messieurs n’en sont pas à leur premier coup d’essai au Paradis. Ils ont, durant ces derniers jours, longuement arpenté ses couloirs, jusqu’à en connaitre l’aile Ouest par cœur. Ils sont, pour la plupart, mariés et pères de famille. Des hommes soi-disant des plus respectables, du moins au demeurant. Car Louve, elle sait ce qu’il en est, de la vérité. Et quand bien même à l’heure d’aujourd’hui ils ont fait table rase du passé, le fait est qu’elle, elle n’a pas oublié. Et qu’elle se doit de se venger.
Une dernière accolade, et les voilà qui se séparent. Louve observe, durant quelques secondes, son amie qui, peu à peu, disparait dans la nuit. Jusqu’à ne faire qu’un avec elle et se volatiliser. Elle est admirative de son pouvoir, et probablement un peu jalouse aussi. Pouvoir se rendre invisible lui aurait été d’une précieuse aide lors de ses déboires dans les laboratoires. Et elle se demande, d’ailleurs, pourquoi Kora n’a pas usé de ce stratagème à ce moment-là. Peut-être parce qu’elle était trop jeune et qu’elle ne maitrisait pas encore cet art ; ou peut-être parce que, comme elle, elle avait peur des conséquences si elle venait à se faire repérer. Louve ne pousse pas plus loin ses réflexions, préférant se focaliser sur le moment présent. Elle ne doit pas faire attendre Kora. Alors elle se pare de la chevalière au rubis éclatant, et elle se rapproche de la maison close.
La rue est étonnamment calme, donc Louve doit se la jouer discrète. Elle perd de précieuses secondes à escalader une des maisons adjacentes, puis, en passant de toits en toits, finit par atterrir en souplesse dans la cour arrière du Paradis. Une porte y est toujours entrouverte, pour permettre à la chaleur des cuisines qui y sont adjacentes de s’évacuer et pour que les garçons de cuisine puissent faire des allers-retours vers le garde-manger qui se trouve de l’autre côté de la cour. Une faille que Louve ne met pas longtemps à exploiter, allant retrouver dans un coin de la réserve un tablier de cuisine qu’elle avait subtilisé quelques heures plus tôt. Relevant ses cheveux dans un chignon, elle enfile le tablier et pénètre dans les cuisines, se mêlant à la cohue générale. Personne ne la remarque, et elle arrive sans encombre dans un premier couloir. Après avoir ôté son tablier, elle profite d’être dans une petite pièce de stockage pour se déshabiller, se retrouvant dans un costume du cabaret. Un ancien qui prenait la poussière et dont –elle espère– Kora ne se formalisera pas s’il ne réapparait jamais. Elle change une première fois d’apparence pour changer la couleur de ses cheveux et le teint de sa peau. Des petits changements qui suffiront à ne jamais réussir à l’identifier si jamais les choses venaient d’or et déjà à se corser. Ainsi déguisée en danseuse à la crinière de feu et aux tâches de rousseur flagrantes, elle pénètre plus profondément dans la maison close, arpentant ses couloirs comme si elle était en terrain conquis. Elle rejoint ainsi rapidement l’aile réservée aux prostituées. Comme elle s’y attendait, la fameuse Mako est toujours en train de se préparer dans la loge qui lui est dédiée. Privilège d’être une des plus demandées, et de représenter pour ce soir la cerise sur le gâteau, elle doit faire son entrée dans les dernières. Ce qui arrange grandement Louve, dont le plan continue à se dérouler comme prévu.
«Mako, c’est bien ça ? Elle attend que cette dernière acquiesce pour qu’un sourire carnassier étire ses lèvres. On m’a demandée de t’apporter ceci. Elle tend sa main, comme si elle tenait quelque chose, et alors qu’elle s’approche et qu’elle est à portée, Louve ouvre son poing, un tas de poudre blanche y étant logé. Elle se penche pour la souffler à la figure de Mako, ses effets soporifiques ne tardant pas à se faire sentir. Excuse-moi, qu’elle murmure en la rattrapant au moment où elle perd connaissance. » Elle la traine jusqu’à un tapis, puis pose une longue cape sur son corps pour ne pas qu’elle attrape froid. Louve s’active ensuite pour enfiler la tenue que Mako était censée porter, puis s’observe dans le miroir une fois son apparence changée.
Satisfaite, elle se dirige vers la porte de la loge, dont elle tire le verrou. La clé est laissée à même la serrure, histoire de ne pas la laisser trop longtemps enfermée. Mako devrait dormir durant plusieurs heures, lui laissant donc amplement le temps de réaliser sa vengeance. Remontant dans les couloirs, elle débouche dans l’aile Ouest, toujours parée de la chevalière qu’elle expose fièrement à qui veut bien la remarquer –avec en ligne de mire Kora par-dessus tout–. L’étape la plus compliquée, à présent, est de réussir à capter l’attention de sa cible sans être démasquée par une de ses comparses qui sont décidément bien nombreuses ce soir. Mako attrape deux coupes de champagne, allant jusqu’à en tendre une à son prétendant. Elle porte ensuite la coupe à ses lèvres, qu’elle avale d’une traite. Pour se donner du courage, mais aussi pour pouvoir plus rapidement avoir les mains libres. Charmeuse et entreprenante, elle enchaine quelques pas de danse langoureux, tournant autour de l’Aubéeun dans une démarche aussi provocante qu’effrontée. Son petit manège n’aura, au final, pas à durer très longtemps, car l’homme, visiblement affamé, attrape son poignet pour les diriger vers une des petites chambres attenantes au grand salon. Louve laisse plusieurs secondes la porte ouverte, pour que Kora puisse y pénétrer à son tour, puis, une fois qu’elle pense cela fait, referme derrière eux en tirant le verrou. Elle se dirige ensuite vers l’homme, dont elle commence à déboutonner la chemise, puis le pousse afin qu’il tombe sur le dos sur le somptueux lit à baldaquins. Elle saute ensuite à califourchon sur lui, enjambant son bassin et ses parties qu’elle sent déjà fébriles. «On te tient, qu’elle souffle dans un murmure, attendant que Kora se manifeste à son tour. »
Une dernière accolade, et les voilà qui se séparent. Louve observe, durant quelques secondes, son amie qui, peu à peu, disparait dans la nuit. Jusqu’à ne faire qu’un avec elle et se volatiliser. Elle est admirative de son pouvoir, et probablement un peu jalouse aussi. Pouvoir se rendre invisible lui aurait été d’une précieuse aide lors de ses déboires dans les laboratoires. Et elle se demande, d’ailleurs, pourquoi Kora n’a pas usé de ce stratagème à ce moment-là. Peut-être parce qu’elle était trop jeune et qu’elle ne maitrisait pas encore cet art ; ou peut-être parce que, comme elle, elle avait peur des conséquences si elle venait à se faire repérer. Louve ne pousse pas plus loin ses réflexions, préférant se focaliser sur le moment présent. Elle ne doit pas faire attendre Kora. Alors elle se pare de la chevalière au rubis éclatant, et elle se rapproche de la maison close.
La rue est étonnamment calme, donc Louve doit se la jouer discrète. Elle perd de précieuses secondes à escalader une des maisons adjacentes, puis, en passant de toits en toits, finit par atterrir en souplesse dans la cour arrière du Paradis. Une porte y est toujours entrouverte, pour permettre à la chaleur des cuisines qui y sont adjacentes de s’évacuer et pour que les garçons de cuisine puissent faire des allers-retours vers le garde-manger qui se trouve de l’autre côté de la cour. Une faille que Louve ne met pas longtemps à exploiter, allant retrouver dans un coin de la réserve un tablier de cuisine qu’elle avait subtilisé quelques heures plus tôt. Relevant ses cheveux dans un chignon, elle enfile le tablier et pénètre dans les cuisines, se mêlant à la cohue générale. Personne ne la remarque, et elle arrive sans encombre dans un premier couloir. Après avoir ôté son tablier, elle profite d’être dans une petite pièce de stockage pour se déshabiller, se retrouvant dans un costume du cabaret. Un ancien qui prenait la poussière et dont –elle espère– Kora ne se formalisera pas s’il ne réapparait jamais. Elle change une première fois d’apparence pour changer la couleur de ses cheveux et le teint de sa peau. Des petits changements qui suffiront à ne jamais réussir à l’identifier si jamais les choses venaient d’or et déjà à se corser. Ainsi déguisée en danseuse à la crinière de feu et aux tâches de rousseur flagrantes, elle pénètre plus profondément dans la maison close, arpentant ses couloirs comme si elle était en terrain conquis. Elle rejoint ainsi rapidement l’aile réservée aux prostituées. Comme elle s’y attendait, la fameuse Mako est toujours en train de se préparer dans la loge qui lui est dédiée. Privilège d’être une des plus demandées, et de représenter pour ce soir la cerise sur le gâteau, elle doit faire son entrée dans les dernières. Ce qui arrange grandement Louve, dont le plan continue à se dérouler comme prévu.
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Satisfaite, elle se dirige vers la porte de la loge, dont elle tire le verrou. La clé est laissée à même la serrure, histoire de ne pas la laisser trop longtemps enfermée. Mako devrait dormir durant plusieurs heures, lui laissant donc amplement le temps de réaliser sa vengeance. Remontant dans les couloirs, elle débouche dans l’aile Ouest, toujours parée de la chevalière qu’elle expose fièrement à qui veut bien la remarquer –avec en ligne de mire Kora par-dessus tout–. L’étape la plus compliquée, à présent, est de réussir à capter l’attention de sa cible sans être démasquée par une de ses comparses qui sont décidément bien nombreuses ce soir. Mako attrape deux coupes de champagne, allant jusqu’à en tendre une à son prétendant. Elle porte ensuite la coupe à ses lèvres, qu’elle avale d’une traite. Pour se donner du courage, mais aussi pour pouvoir plus rapidement avoir les mains libres. Charmeuse et entreprenante, elle enchaine quelques pas de danse langoureux, tournant autour de l’Aubéeun dans une démarche aussi provocante qu’effrontée. Son petit manège n’aura, au final, pas à durer très longtemps, car l’homme, visiblement affamé, attrape son poignet pour les diriger vers une des petites chambres attenantes au grand salon. Louve laisse plusieurs secondes la porte ouverte, pour que Kora puisse y pénétrer à son tour, puis, une fois qu’elle pense cela fait, referme derrière eux en tirant le verrou. Elle se dirige ensuite vers l’homme, dont elle commence à déboutonner la chemise, puis le pousse afin qu’il tombe sur le dos sur le somptueux lit à baldaquins. Elle saute ensuite à califourchon sur lui, enjambant son bassin et ses parties qu’elle sent déjà fébriles. «
Hybride du Jour
Pseudo : horizon
Pronoms irl : elle
Faceclaim : (ft) zoe kravitz (av) fassylovegallery (sign) timuschaos (gif) capchrisevans
Comptes : ( MERRILL ) le baron ailé ( SIENA ) la dame qui murmure à l'oreille de flammes ( ACHILLE ) le doux seigneur printanier
Messages : 142
Aeskells : 823
Triggers : à discuter ensemble ♥
Contents : maladie, violence, drogue, mort, sexe, pulsions meurtrières, santé mentale
Pronom : elle
Âge : ( QUATRE-VINGT DEUX ) années, même si pour sa part, elle ne compte plus.
Race : ( HYBRIDE ) aux oreilles rondes et aux ailes mutilées qu'elle dissimule des yeux de tous, apparence d'une maudite humaine.
Cour : originaire ( DU JOUR ) alors qu'elle n'en a plus foulé le sol depuis des années.
Résidence : ( ELYSIUM ) dans un appartement au-dessus du cabaret.
Occupation : ( CABARETIÈRE ) depuis vingt ans, tenancière du Soleil de Minuit
Statut social : ( MOINS QUE RIEN ) aux allures d'humaines.
Statut civil : ( VEUVE ) l'âme de son époux disparu étreignant son coeur.
Orientation sexuelle : ( BISEXUELLE ) attirée par tous ces corps qui se meuvent autour d'elle.
Âme sœur : ( PERSONNE ) n'a osé se manifester jusqu'à lors.
Allégeance : ( MARCHANDS DE SABLE ) qui l'ont recueillie, ( MÈRE NOIRE ) maîtresse de son culte.
Aesthetic 1 :
Aesthetic 2 :
Aesthetic 3 :
Staff
je gère la place
Peuple
nous sommes légions
Jour
fidèle à la cour du jour
Lumière
magie du jour
Sandman
famille pour les exclus
Culte de la Mère Noire
Je vénère les mère sombre
Reliques & chaos
J'ai tenté de voler la Coupe
Ancien·ne
j'étais là avant le reboot
Multicompte
j'me suis dédoublé·e
show must go on
outfit - tw: Ø - @louve savelli
Kora se fait toute petite. Véritable infiltrée dans ce monde qui ne lui appartient pas. Elle reluque chacun des passages; les belles femmes peu vêtues qui charment des hommes gras et sans la moindre beauté. Elle s'imagine, à leur place, des dizaines d'années plutôt. A n'avoir trouvé comme gagne-pain que le seul moyen de vendre son corps. De leur faire des gâteries pour qu'ils paient sans compter. Des situations qui lui donnent envie de vomir aujourd'hui, elle pour qui la séduction est si facile.
Les clients et les prostituées vont et viennent pendant qu'elle se tasse, silencieuse, à la recherche du détail qui fera mouche. Et le voici; la chevalière au rubis apparaît à un doigt, aussi remarquable qu'une aiguille dans une botte de foin. La Diurne prend un court instant pour scruter la nouvelle identité volée de Louve, et le changement est frappant. Abandonné les traits tannés de la belle Automnale, elle s'est transformée en une ravissante Aubéenne. Cette dernière attrape deux coupes de champagne dont elle se serre pour ferrer sa proie. Kora assiste au spectacle de séduction et trouve son alliée convaincante dans ce rôle, alors que l'issue en sera toute autre. Il en faut peu pour enflammer leur cible qui n'attend pas pour entraîner sa favorite dans une chambre privée. Kora les suit, s'engouffre dans la pièce et laisse Louve tirer le verrou. Leur petit manège peut débuter, et la panthère en est exaltée.
Elle laisse le loisir à Louve de commencer, et celle-ci ne perd pas son temps. Entraînant l'Aubéen sur le lit, déboutonnant sa chemise, elle se place au-dessus de lui pour condamner ses jambes. Il a l'air d'aimer le spectacle entreprenant de sa favorite, mais il est loin de se douter qu'en réalité... Il est fait comme un rat.
Kora, toujours invisible, s'approche du lit, se penche sur Louve et murmure;
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Hybride de l'Aube
Pseudo : ARKHAN
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Aeskells : 1244
Triggers : [RAS] je peux tout lire.
Contents : [TW] expérimentations scientifiques, sévices physiques et psychologiques, mutilations, déviance mentale, violence, meurtres.
Pronom : [ELLE]
Âge : [42 ANS] qu'elle foule la terre vaine, semant cadavres et désolation dans son sillage.
Race : [HYBRIDE] aux oreilles pointues et aux ailes arrachées. stigmates d'un passé torturé qui n'a de cesse de la pourchasser.
Cour : [APATRIDE] aucun seigneur ne mérite sa loyauté, et elle se surprend même à rêver de tous les voir flamber.
Résidence : [ELYSIUM] sa zone de jeu, son terrain de chasse.
Occupation : [DANSEUSE] au sein du cabaret le Soleil de Minuit ; [ASSASSIN] régie par sa folie, ou par les désirs des Sandmen.
Statut social : [VERMINE] qui n'a jamais su où était sa place et qui erre de caniveaux en caniveaux.
Statut civil : [SEULE] trop sauvage pour se laisser dompter. le cœur trop souvent trahi et le corps meurtri par trop de tragédies.
Orientation sexuelle : [PANSEXUELLE] qui ne se l'avoue pas encore vraiment, rechignant bien trop souvent à se laisser aller.
Âme sœur : [ULYSSE] la Mère sait se montrer sarcastique, car il représente exactement tout ce qu'elle abhorre.
Allégeance : [ELLE-MÊME] avant tout. car les trahisons laissent un goût amer qu'il est impossible de faire disparaitre ; [SANDMEN] tant que leurs aspirations convergent avec les siennes.
Aesthetic 1 :
Aesthetic 2 :
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tw: Ø | @Kora Shomari | mars 837
- sous les traits de Masha Mogween:
(c) astralwitch
Attention aux yeux. Le murmure de son amie arrive jusque dans ses oreilles, la faisant tressaillir. C’est déroutant, dans un premier temps. D’entendre cette voix comme si elle était tout contre elle ; alors qu’il n’y a, de prime abord, absolument personne. Elle reste admirative quant à son don d’invisibilité, ne pouvant s’empêcher, durant de fugaces secondes, d’imaginer ce que sa vie pourrait être, avec un tel pouvoir. Elle pourrait aller où elle veut, quand elle veut. Être une lame de l’ombre, encore plus efficace qu’elle ne l’est déjà. Se fondre dans les ténèbres, pour ne plus jamais réapparaitre. Et faire couler le sang. Encore et encore. Elle deviendrait une chimère. Une rumeur. L’assassin invisible, qui ne laisserait derrière lui qu’une trainée de sang et un cadavre aux yeux injectés de terreur. Oui, Louve, durant cette poignée de secondes où elle ferme les yeux, se met à imaginer un panel de possibles. Jusqu’à ce que derrière ses paupières elle entrevoit un éclat de lumière flamboyant, et que l’obscurité revienne.
Quand elle rouvre les yeux, c’est pour retrouver la silhouette féline de Kora, à quelques pas d’elle. Lame en main, elle s’amuse de la situation, se délectant de lire l’incompréhension sur le visage de l’Aubéen. Ce dernier ne comprend pas. Alternant son regard entre celui elle et Louve. Il pourrait être excité. Redoubler d’exaltation en voyant leur petit spectacle. Un éclair aveuglant suivi de l’apparition d’une charmante créature. Le couteau qu’elle tient pourrait être un accessoire pour pimenter leur petit jeu. L’idée lui a, d’ailleurs, clairement traversé l’esprit. Mais il y a quelque chose qui colle pas. Des petits détails qui lui mettent la puce à l’oreille. La tenue de Kora n’a rien de sensuelle. Elle est aussi simple que pratique. Et puis il y a son attitude. Son sourire. Kora joue, ça c’est indéniable. Mais pas de la manière dont il aimerait. Y’a du danger qui émane de chaque fibre de son corps. Et l’instinct de l’Aubéen ne peut, qu’en réponse, l’inciter à la plus grande prudence. Et au repli. C’est ce qu’il essaie de faire. De se dégager de l’emprise de Louve en la repoussant. Mais l’assassin tient bon, n’hésitant pas à user de son genou pour écraser ses parties sans ménagement. L’homme grogne, arrêtant de se débattre. «À la moindre tentative de fuite, au moindre cri, on t’égorge. C’est compris ? » L’avertissement est lancé, tout comme la promesse d’une fin tragique et ensanglantée. Si Louve laisse suggérer un possible plus clément s’il demeure docile, les deux complices savent qu’il en sera autrement. Que l’issue ne peut que lui être fatale. « Qui êtes-vous ? Qu’est-c’que vous m’voulez ? Il a les sourcils froncés. Le souffle court. Louve peut sentir son rythme cardiaque qui tambourine dans sa poitrine. Nous ? On est personne, qu’elle clame d’une voix froide. Mais elle… Elle se coupe, son apparence changeant une nouvelle fois. Révélant les traits enfantins et innocents de cette Masha qu’elle n’est plus. Qui est morte, à deux reprises. Une première fois dans ces sombres labos, puis une deuxième, finalement, bien des décennies plus tard, après de la Légion Écarlate. Seize… Un frisson qui lui hérisse l’échine face à cette identité. Ce numéro qu’elle a porté durant toutes ces années. À l’image d’un vulgaire bétail qui attend que son tour arrive pour passer à l’abattoir. L’Aubéen garde contenance, affichant une assurance soit trompeuse, soit dangereuse. Et toi beauté ? J’crois pas t’avoir vue passer dans mes geôles… Sinon j’m’en serais souvenu. Il l’observe, l’œil pétillant et sournois, pendant qu’elle s’emploie à lui attacher les mains aux barreaux du lit à baldaquins. J’ai raccroché, vous savez… J’suis plus l’homme que j’étais à l’époque. J’ai changé. Il tente de négocier. D’amadouer. De gagner du temps aussi, peut-être. Pas moi, riposte Louve d’une voix grave. Elle aimerait qu’il puisse en être autrement. Que comme Tori, ou comme Kora, elle ait pu trouver une autre voie. Une sorte de résilience. Une porte de sortie, d’exutoire, pour tirer définitivement un trait quant à son passé. Mais elle en est incapable. Et elle doute, d’ailleurs, d’y arriver un jour. Certains objets ne peuvent être réparés. Est-ce que t'as encore des contacts avec les autres ? Car quitte à en faire tomber un, pourquoi ne pas tenter un effet domino pour tous les entrainer dans sa chute ? C’est pas comme ça qu’ça marche… qu’il rétorque d’une voix aussi froide que la sienne. » Louve, après l’avoir jaugé plusieurs secondes, finit par porter son regard vers Kora qui a fini de serrer les liens. Echangeant un regard entendu avec elle. À son tour. Louve se dégage du corps de l’homme d’un bond souple sur le côté, gardant sa main posée sur celle de l’Aubéen au bout du lit. Juste au cas où il tente de tamiser.
Quand elle rouvre les yeux, c’est pour retrouver la silhouette féline de Kora, à quelques pas d’elle. Lame en main, elle s’amuse de la situation, se délectant de lire l’incompréhension sur le visage de l’Aubéen. Ce dernier ne comprend pas. Alternant son regard entre celui elle et Louve. Il pourrait être excité. Redoubler d’exaltation en voyant leur petit spectacle. Un éclair aveuglant suivi de l’apparition d’une charmante créature. Le couteau qu’elle tient pourrait être un accessoire pour pimenter leur petit jeu. L’idée lui a, d’ailleurs, clairement traversé l’esprit. Mais il y a quelque chose qui colle pas. Des petits détails qui lui mettent la puce à l’oreille. La tenue de Kora n’a rien de sensuelle. Elle est aussi simple que pratique. Et puis il y a son attitude. Son sourire. Kora joue, ça c’est indéniable. Mais pas de la manière dont il aimerait. Y’a du danger qui émane de chaque fibre de son corps. Et l’instinct de l’Aubéen ne peut, qu’en réponse, l’inciter à la plus grande prudence. Et au repli. C’est ce qu’il essaie de faire. De se dégager de l’emprise de Louve en la repoussant. Mais l’assassin tient bon, n’hésitant pas à user de son genou pour écraser ses parties sans ménagement. L’homme grogne, arrêtant de se débattre. «
- résultat dés:
- Les dés ont parlé, pour l'instant l'homme se tient tranquille.
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