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sun & storm || ft. kora
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Grand·e Fae de l'Été
Pseudo : Ironbird/Ozymandias
Pronoms irl : ♀
Faceclaim : Scott Eastwood (avatar (me) gif (Raven ♥)) signa (awona)
Comptes : Aghnar & Salazar
Messages : 167
Aeskells : 488
Triggers : to be discussed
Contents : to be discussed
Âge : 118 étés
Race : Divergent
Cour : Summer
Résidence : La haute mer à bord de l'Alizée, met pied à terre à Elysium, principalement
Occupation : Corsaire aux relents de contrebandier, capitaine de l'Alizée
Statut social : Paria tant par sa divergence que par ses affaires pas nettes
Statut civil : En couple et marié à la fois
Orientation sexuelle : N'a d'yeux que pour les femmes, leurs courbes et leur verve.
Âme sœur : Yseult Efterår devant la Mère, Kora Shomari devant l'Obscure
Allégeance : À Adrielle Ethelil après avoir oublié sa loyauté à la Mère Noire
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fidèle à la cour de l'été
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ft. @Kora Shomari | flashback avril 805
Une nuit d’avril particulièrement chaude, une atmosphère prêtant à boire, la Corne d’Abondance se peuple de soiffards et couche tard désireux de profiter des premières chaleurs de printemps à grands coups de rasades et de rinçage de gosier. Les établissements ne désemplissent pas, s’enrichissent sur le dos de poivrots à la jugeote mise à mal proportionnellement aux nombre de pintes descendues, quand ceux-ci se contentent de sagement alourdir les bourses des tenanciers en vidant les leurs. Mais il est une variété d’individus dont on se passerait bien, fouteurs de merde et autres abrutis finis, du genre à se faire sortir manu militari parce que la tronche d’un autre ne lui revient pas et qu’il préfère encore y enfoncer ses phalanges plutôt que de passer son chemin.
Elles sont rougies, celles d’Athimbod, affichent une teinte carmin qu’y a laissé ce type qui l’a mal regardé, en plus des quelques dents restées sur le plancher lustré sur lequel il est encore en train de les chercher. Au fond d’une impasse mal éclairée, le printanier qui n’en est pas un se prend une raclée bien méritée par un videur consciencieux et soucieux de bien faire son boulot. Il pourrait abréger la chose, se contenter d’abdiquer et laisser la victoire au colosse estival faisant bien deux têtes de plus que lui, mais c’est sans compter sur sa grande gueule et son petit instinct de survie.« Et tu câlines ta mère avec ces paluches là mon grand ? » Y’en a une qui tremble de fureur, qui se ferme et s’abat contre la joue de l’impertinent qui valdingue dans quelques caisses entreposées là. Parce qu’il y a toujours des caisses entreposées là. « Hmpf… Elle doit avoir l’dos en miette ta mamounette… » Pas foutu d’arrêter, le faux printanier, doit toujours avoir le dernier mot quitte à s’en prendre plein les dents, quoique les siennes sont pas éparpillées au sol, elles, pas comme celles que le binoclard cherche encore à l’intérieur du cabaret, à quatre pattes sur le parquet.
Le golem de chair le surplombe, regard assassin baissé sur celui qui le soutient, provocateur, agitateur, trop alcoolisé pour savoir s’arrêter, quoiqu’être sobre n’y aurait sans doute rien changé. Athimbod est un être entier, a besoin d’exister, de le prouver quelle qu’en soit la manière, et tant pis si ça tape sur les nerfs des malheureux qui croisent sa route. Ce soir, ce fut le binoclard, puis ce videur dont il attise la colère, se garantissant une place de choix sur la liste noire du cabaret dans lequel il n’est pas prêt de remettre les pieds.« Allez, dis-le que j’te plais, j’le vois à la manière dont tu m’regardes. » Récolte un grondement de la part de celui qui l’attrape par le col et le soulève, offre une vue parfaite sur la pommette entaillée par le seul coup de poing que sera parvenu à lui asséner le divergent. « Arrête, j’vais rougir. Que dirait ta mère ? » Les narines du bestiau s’écartent, la rage dans son regard annonce une triste fin pour celui qui la cherche, un peu, quand même, et le poing vengeur d’un homme très attaché à sa maman se lève, prêt à asséner l’ultime châtiment lorsque le grincement d’une porte qui s’ouvre derrière lui le fige.
On entend brièvement la musique qui se joue au dedans avant qu’elle ne se referme, puis c’est un cliquetis de talons qui se devine derrière la silhouette imposante du videur. Athimbod penche la tête, tente d’y voir quelque chose, devine la forme élancée d’une femme, sûrement une employée puisqu’à part lui, aucun client n’a quoi que ce soit à foutre dans cette allée.« Hem, vous permettez ? On est en plein milieu d’un truc là. Il est timide l’gros balèze, vous l’bloquez là. »
Elles sont rougies, celles d’Athimbod, affichent une teinte carmin qu’y a laissé ce type qui l’a mal regardé, en plus des quelques dents restées sur le plancher lustré sur lequel il est encore en train de les chercher. Au fond d’une impasse mal éclairée, le printanier qui n’en est pas un se prend une raclée bien méritée par un videur consciencieux et soucieux de bien faire son boulot. Il pourrait abréger la chose, se contenter d’abdiquer et laisser la victoire au colosse estival faisant bien deux têtes de plus que lui, mais c’est sans compter sur sa grande gueule et son petit instinct de survie.
Le golem de chair le surplombe, regard assassin baissé sur celui qui le soutient, provocateur, agitateur, trop alcoolisé pour savoir s’arrêter, quoiqu’être sobre n’y aurait sans doute rien changé. Athimbod est un être entier, a besoin d’exister, de le prouver quelle qu’en soit la manière, et tant pis si ça tape sur les nerfs des malheureux qui croisent sa route. Ce soir, ce fut le binoclard, puis ce videur dont il attise la colère, se garantissant une place de choix sur la liste noire du cabaret dans lequel il n’est pas prêt de remettre les pieds.
On entend brièvement la musique qui se joue au dedans avant qu’elle ne se referme, puis c’est un cliquetis de talons qui se devine derrière la silhouette imposante du videur. Athimbod penche la tête, tente d’y voir quelque chose, devine la forme élancée d’une femme, sûrement une employée puisqu’à part lui, aucun client n’a quoi que ce soit à foutre dans cette allée.
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Hybride du Jour
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Comptes : ( MERRILL ) le baron ailé ( SIENA ) la dame qui murmure à l'oreille de flammes ( ACHILLE ) le doux seigneur printanier
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Aeskells : 823
Triggers : à discuter ensemble ♥
Contents : maladie, violence, drogue, mort, sexe, pulsions meurtrières, santé mentale
Pronom : elle
Âge : ( QUATRE-VINGT DEUX ) années, même si pour sa part, elle ne compte plus.
Race : ( HYBRIDE ) aux oreilles rondes et aux ailes mutilées qu'elle dissimule des yeux de tous, apparence d'une maudite humaine.
Cour : originaire ( DU JOUR ) alors qu'elle n'en a plus foulé le sol depuis des années.
Résidence : ( ELYSIUM ) dans un appartement au-dessus du cabaret.
Occupation : ( CABARETIÈRE ) depuis vingt ans, tenancière du Soleil de Minuit
Statut social : ( MOINS QUE RIEN ) aux allures d'humaines.
Statut civil : ( VEUVE ) l'âme de son époux disparu étreignant son coeur.
Orientation sexuelle : ( BISEXUELLE ) attirée par tous ces corps qui se meuvent autour d'elle.
Âme sœur : ( PERSONNE ) n'a osé se manifester jusqu'à lors.
Allégeance : ( MARCHANDS DE SABLE ) qui l'ont recueillie, ( MÈRE NOIRE ) maîtresse de son culte.
Aesthetic 1 :
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famille pour les exclus
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805, elysium
le premier spectacle de la soirée est terminé. le cabaretier de la panthère carmine n'hésite pas un instant à faire produire ses félines plusieurs fois dans la soirée: son affaire fonctionne comme des petits pains. il pleut des applaudissements sur les danseuses encore sur scène, certains reçoivent des fleurs, ou même des aeskells. kora se sent renaître sous tant de reconnaissance. elle a écumé les boulots merdiques jusque là. serveuse, dealeuse, strip teaseuse, elle est passée par bien des cases sans peu de dignité. si sylas l'avait prise sous son aile avant d'arriver à la capitale, il n'est pas facile de s'y forger un nom. ni un fond de poche pour survivre ici bas. sylas était prêt à l'aider plus qu'elle ne l'acceptait: elle refusait de vivre au dépens d'un autre. vu sa situation, elle préférait gérer sa vie seule. autant qu'il lui en était possible.
alors, enfin repérée par le patron de la panthère dans le club de danseuses provocantes, elle retrouve une vie qui a du sens. une passion. un entourage. un nom. les spectateurs envient toujours son corps et ses formes, mais elle ne les vend plus. elle est observée de loin alors qu'elle se déhanche sur scène, et on crie son nom à la note finale du spectacle. que demander de plus ? le coeur de kora bat la chamade et un sourire se dépeint sur son visage. pour la première fois depuis longtemps, elle se sent entière.
pas comme le type qui a perdu ses dents à la sortie de la représentation. descendant de l'estrade, elle s'emballe dans un peignoir de soie. la soirée ne fait que commencer, mais une pause s'impose. elle lance un regard plein de dédain envers le malheureux, s'armant d'une cigarette et d'une allumette. parvenue dehors, elle allume son tabac et expire l'air frais de la ville plongée dans le noir. au fond de la ruelle dans laquelle aboutit l'entrée des artistes, elle perçoit du grabuge. une voix l'interpelle tandis qu'elle recrache un nuage de fumée grisâtre.
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ft. @Kora Shomari | avril 805
L’obscurité ne rend pas justice à l'œuvre abstraite qu’a peinte le vigile sur le visage de l’impertinent qui en redemande toujours plus. Le divergent a ce besoin insensé de sentir quelque chose de fort pour se savoir en vie, n’a rien trouvé de mieux que l’adrénaline et la douleur qu’apporte une bonne baston bien sentie comme celle qu’il a cherché à entamer à l’intérieur, au grand dam de celui qui ne lui apporta pas satisfaction. Et le voici, Athimbod, à finir par encaisser les coups d’un colosse patibulaire dans une ruelle mal éclairée où il finira sûrement la nuit, un large sourire aux lèvres et les yeux qui se ferment doucement dans l’attente de ce dernier coup qu’il devine magistral.
Mais une porte s’ouvre, grince, se referme, et le golem se fige, son regard assassin toujours braqué sur le fae visiblement contrarié. Athimbod penche la tête et devine à peine une silhouette au loin, qu’il interpelle et prie d’aller voir ailleurs. C’est qu’il a une affaire en cours, et aimerait la voir conclue d’ici la fin de la soirée.
La tronche de Franck vient lui barrer la vue, le priver de celle de l’inconnue qui s’avance vers eux et dont il n’entend que les talons claquer sur le sol en pierre pour, enfin, en distinguer quelques doigts fins se posant sur le poing vengeur encore levé du videur.« Ah bah nan, ça s’rait dommage. » Sourire narquois, regard provocateur qui revient trouver celui du colosse qui lui grogne dessus, alors que son bras se baisse sous l’influence de l’inconnue que le divergent n’a pas encore pris le temps de regarder. « C’est un bon Francky ça, hein ? Oh oui, sa maman doit être fière de lui… » Une main vient tapoter la joue du golem qui finit d’écouter la voix de la raison dissimulée derrière sa carrure, et envoie valser l’emmerdeur contre le mur voisin, qui le percute dans un son sourd.
Le souffle coupé, une main sur la poitrine alors qu’il tente de retrouver l’air dont il a pourtant la maîtrise, Athimbod, voûté, se laisse tomber sur le côté.« Tu passeras l’bonjour à ta mère ! » Il a tout juste le temps de voir le pied du videur lui passer devant le visage pour éclater une caisse voisine, que voilà ce dernier déjà parti. La porte s’ouvre, grince, se referme dans un claquement violent. « Aaaah putain il m’a pas raté le con… » La vision troublée par le coup de mur qu’il vient de recevoir s’éclaircit peu à peu, jusqu’à lui faire enfin réaliser qu’il n’est pas seul. Découvre une paire de pieds délicats élégamment ornés de talons vertigineux, ne faisant que prolonger une paire de jambes interminable qu’il remonte doucement, jusqu’à découvrir le visage de sa bienfaitrice qui se penche sur lui. « J’suis mort, c’est ça ? » Par l’Obscure, cette beauté n’a rien de réel, elle doit en être une envoyée chargée de la guider à Elle. Ça tombe bien, parce qu’il la voit, cette petite lumière dont on parle si souvent, celle à suivre pour passer dans l’au-delà… Ah, non, rien que la braise d’une cigarette. Ça fume, une envoyée divine ?
Sous la fumée soufflée par l’envoyée, Athimbod se redresse tant bien que mal, mâchoire crispée et dents serrées sous la douleur provoquée aux côtes, et partout ailleurs. Se retrouve presque face à elle, juste de quoi porter son regard barré par quelques yeux au beurre noir dans celui de l’inconnue à qui il offre son plus beau sourire. Aïe, ça fait mal.« Tu devrais m’voir quand j’ai pas la tronche de travers, j’te promets tu s’rais pas déçue. » Cette même main lui ayant valu son dernier vol plané se lève doucement, approchant sans gêne des lèvres charnues de la beauté diurne pour y cueillir la cibiche qu’il porte aux siennes, enflées, entaillées. En tire une bouffée qu’il savoure les yeux fermés dont la fumée rend sa voix plus grave. « Détrompe-toi. J’étais sur l’point d’conclure. » De finir plié en deux sans pouvoir lever un seul doigt mais en sentant chaque partie de lui endolorie. « T’as pas idée du mal qu’j’ai eu pour l’foutre dans c’t’état, c’gars est un mur de glace. Et j’pèse mes mots, il est d’l'Eté c’t’abruti. » Lève doucement la main, ses doigts tenant la cigarette pointées vers le visage de la nymphe sublime se tenant devant lui, tout investi qu’il est par ses explications ne faisant aucun sens pour le restant du monde. « Mais j’l’ai eu sur sa p’tite maman. Ils craquent tous sur la p’tite maman. » La dextre se tend, ses doigts retrouvent le velouté des lèvres à qui ils rendent la cibiche. « Mais j’te pardonne. T’es quand même sacrément plus chouette à r’garder. »
Mais une porte s’ouvre, grince, se referme, et le golem se fige, son regard assassin toujours braqué sur le fae visiblement contrarié. Athimbod penche la tête et devine à peine une silhouette au loin, qu’il interpelle et prie d’aller voir ailleurs. C’est qu’il a une affaire en cours, et aimerait la voir conclue d’ici la fin de la soirée.
La tronche de Franck vient lui barrer la vue, le priver de celle de l’inconnue qui s’avance vers eux et dont il n’entend que les talons claquer sur le sol en pierre pour, enfin, en distinguer quelques doigts fins se posant sur le poing vengeur encore levé du videur.
Le souffle coupé, une main sur la poitrine alors qu’il tente de retrouver l’air dont il a pourtant la maîtrise, Athimbod, voûté, se laisse tomber sur le côté.
Sous la fumée soufflée par l’envoyée, Athimbod se redresse tant bien que mal, mâchoire crispée et dents serrées sous la douleur provoquée aux côtes, et partout ailleurs. Se retrouve presque face à elle, juste de quoi porter son regard barré par quelques yeux au beurre noir dans celui de l’inconnue à qui il offre son plus beau sourire. Aïe, ça fait mal.
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805, elysium
en fait, c’est que le bougre a l’air plutôt vexé que kora vienne s’interposer dans leur castagne. jusqu’au dernier instant, sa langue de mec qui a bu quelques verres de trop cherche la provocation vers le videur qui se retient de lui rendre la monnaie de sa pièce. la féline aurait pu les laisser à leur affaire, fumer sa clope et rentrer comme si elle n’avait rien vu. ça n’aurait pas été la première fois. pourtant, ce coup-ci, elle en a assez de voir l’ogre de franck tabasser des clients. c’est que des fois, ils ont simplement eu un regard de travers et ça lui suffit pour les mettre à terre.
le plaintif, au sol, geint. kora s’en amuse.
des doigts s’élèvent dans sa direction et piquent la cigarette coincée entre ses lippes. kora fronce un peu mais ne dit rien. le malheureux poursuit sur sa lancée et cela suffit à la faire sourire. qu’est-ce que les mâles ne feraient pas pour parader devant les femelles… sur ce rayon-là, kora en connaît un paquet. si elle cueille volontiers ceux qui lui tapent dans l’oeil, elle sait aussi repérer les lourdeaux. et d’ailleurs, elle ne sait pas encore dans quelle catégorie se situe le blondinet en face d’elle.
elle réajuste la lumière et lâche un
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ft. @Kora Shomari | avril 805
L’empathie de la danseuse face à lui est totalement inexistante, et ce n’est certainement pas le divergent qui risque de s’en offusquer. Malgré sa condition de paria, malgré son exil forcé, malgré ce passé sombre l’ayant poussé à prendre une nouvelle identité, celui qui a choisi celle d’Athimbod Nimritel a tout particulièrement à cœur d’en être le seul acteur et d’en être l’unique moteur. Trop longtemps il a vécu dans l’ombre de son reflet et sous le joug de leur aîné, trop longtemps il a tu celui qu’il était réellement, dissimulant sa véritable nature, se disant de la Terre quand c’est bien l’Air qui se plie à sa volonté. Tout ce qu’il accomplit, dans les succès comme dans les échecs, jusque dans ses propres erreurs, Athimbod embrasse chaque conséquence de ses actes, qu’elles soient lointaines ou bien provoquées, comme cette raclée qu’il s’est accordée ce soir dans cette sombre allée.
Mais voilà qu’elle s’en est mêlée, la danseuse de cabaret, se fait inconnue dans une équation pourtant parfaitement calibrée. Lui qui aurait dû succomber au dernier coup enragé du videur pour finir inconscient à même le pavé, le voici à flirter avec cette femme qui lui rend foutrement bien la pareille, et c’est loin de déplaire au divergent qui ne laisse aucun mystère quant au fait qu’elle soit parfaitement à son goût.« Quoi, déjà impatiente de m’revoir ? Ça peut s’arranger… » Elle qui ne demande qu’à le voir sans sa tronche en biais, il est prêt à lui donner satisfaction, encore faudra-t-il attendre que son visage retrouve ses traits et ses couleurs originels. Il lui accorde un clin d'œil avant de cueillir la cigarette à ses lèvres et évoquer le grand gaillard responsable du sale état dans lequel il se trouve. Athimbod ne se fait pas trop de souci pour ce qui est des jours prochains, il sait qu’il trouvera bien un aubéen peu scrupuleux prêt à accepter de le remettre sur pieds moyennant quelques aeskells, tout ça pour que le divergent ne réduise son travail à néant à la première occasion venue.
Un douloureux sourire étire les lèvres du printanier alors que la danseuse évoque le colosse estival.« C’était justement l’but, ma belle. » Non, clairement, Francky n’est pas un tendre, et c’est bien ça qui lui a valu de s’attirer toute l’attention du divergent. Il cogne fort, il cogne juste, et sait faire fermer leurs gueules aux petits cons dans son genre, ou presque. Celle d’Athimbod n’a pas cessé de le provoquer, de l’encourager, encore et encore, et était prête à le pousser dans ses derniers retranchements avant que la beauté diurne n’apparaisse et lui vole la vedette. Mais ça ira, pour cette fois, l’homme mal en point ne lui en tiendra pas rigueur.
La lumière des candélabres environnants s’affaiblit soudainement aux mots de la fae qui lui fait face, et qui s’attire un sourire amusé et un regard narquois de la part du divergent qui ne demeure pas en reste. Dans cette semi obscurité qu’elle crée, un souffle chaud les enveloppe et attise la braise de la cigarette qu’Athimbod glisse entre les pulpeuses de l’inconnue dont il savoure la douceur et le velouté sûrement quelques secondes de trop. Seuls leurs visages s’éclairent alors, dans une proximité presque intime sous ce contact électrisant, le regard du divergent n’exprimant rien d’autre qu’un intérêt et un défi certains.
La lumière revient, et la diurne réplique avec assurance au compliment qu’il lui a glissé sans aucun tact, puis l’interroge sur sa mère, à lui. Les lèvres du divergent s’étirent de nouveau, dans un sourire bien plus large cette fois, jusqu’à ce qu’elles ne s’ouvrent et qu’il ne se laisse aller à un rire sonore qu’il laisse éclater malgré la douleur qui le prend aux côtes.« Oh, merde, m’fais pas rire com’ça, j’suis pas en état ! » Plaque main droite sur flanc gauche, celui qui a le plus morflé sous les coups du videur estival, et tente tant bien que mal de calmer ces spasmes incontrôlables qui le prennent encore malgré lui. La senestre, elle, vient se poser familièrement sur l’épaule délicate de la danseuse. « Putain on m’l’avait jamais faite celle-là… » Tenter de l’atteindre, lui, en évoquant une génitrice qui s’est détournée de lui dès l’instant qu’elle l’a su enfant de l'Été, qui n’a vu en lui que l’intérêt de sa ressemblance frappante avec son reflet, leur valant un taux de réussite indéniable dès lors qu’il était question d’escroquer son prochain. Car c’est à celle-ci à qui la danseuse fait référence, quand la seule et unique mère que reconnaît le divergent est l’Obscure. « Aaaah putain, j’en chiale… » Sa main gauche quitte l’épaule halée pour essuyer une larme importune au coin de son oeil droit. « T’en fais pas pour ma p’tite maman, elle est foutrement fière d’son fiston. » Car l’Obscure peut l’être face à un fidèle aussi dévoué que lui, cavalier de son Culte lui vouant sa vie et ses dons, grossissant ses rangs petit à petit en répandant sa sombre parole.
Le rire du divergent se calme doucement, mais sa main demeure en place sur le flanc endolori, et Athimbod retrouve une respiration aussi régulière qu’il peut se le permettre, son regard encore embué de quelques larmes amusées braqué sur la nymphe solaire qui lui fait toujours face.« Aaah, tu m’plais toi. Et pas seul’ment pour la façon dont tu t’trémousses sur scène. » Parce qu’il l’a vue, à l’intérieur, beauté ondulant dans une tenue laissant peu de place à l’imagination qu’il sait dissimulée sous le peignoir de soie qu’elle porte à présent, et s’il n’a pas eu l’occasion de voir le bouquet final de sa chorégraphie, il est fort ravi de la voir de bien plus près, et d’en entendre la répartie. « Maint’nant quoi ? J’dois aussi insulter ta mère pour qu’tu finisses l’boulot d’ton Francky chéri ? »
Mais voilà qu’elle s’en est mêlée, la danseuse de cabaret, se fait inconnue dans une équation pourtant parfaitement calibrée. Lui qui aurait dû succomber au dernier coup enragé du videur pour finir inconscient à même le pavé, le voici à flirter avec cette femme qui lui rend foutrement bien la pareille, et c’est loin de déplaire au divergent qui ne laisse aucun mystère quant au fait qu’elle soit parfaitement à son goût.
Un douloureux sourire étire les lèvres du printanier alors que la danseuse évoque le colosse estival.
La lumière des candélabres environnants s’affaiblit soudainement aux mots de la fae qui lui fait face, et qui s’attire un sourire amusé et un regard narquois de la part du divergent qui ne demeure pas en reste. Dans cette semi obscurité qu’elle crée, un souffle chaud les enveloppe et attise la braise de la cigarette qu’Athimbod glisse entre les pulpeuses de l’inconnue dont il savoure la douceur et le velouté sûrement quelques secondes de trop. Seuls leurs visages s’éclairent alors, dans une proximité presque intime sous ce contact électrisant, le regard du divergent n’exprimant rien d’autre qu’un intérêt et un défi certains.
La lumière revient, et la diurne réplique avec assurance au compliment qu’il lui a glissé sans aucun tact, puis l’interroge sur sa mère, à lui. Les lèvres du divergent s’étirent de nouveau, dans un sourire bien plus large cette fois, jusqu’à ce qu’elles ne s’ouvrent et qu’il ne se laisse aller à un rire sonore qu’il laisse éclater malgré la douleur qui le prend aux côtes.
Le rire du divergent se calme doucement, mais sa main demeure en place sur le flanc endolori, et Athimbod retrouve une respiration aussi régulière qu’il peut se le permettre, son regard encore embué de quelques larmes amusées braqué sur la nymphe solaire qui lui fait toujours face.
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Âge : ( QUATRE-VINGT DEUX ) années, même si pour sa part, elle ne compte plus.
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Cour : originaire ( DU JOUR ) alors qu'elle n'en a plus foulé le sol depuis des années.
Résidence : ( ELYSIUM ) dans un appartement au-dessus du cabaret.
Occupation : ( CABARETIÈRE ) depuis vingt ans, tenancière du Soleil de Minuit
Statut social : ( MOINS QUE RIEN ) aux allures d'humaines.
Statut civil : ( VEUVE ) l'âme de son époux disparu étreignant son coeur.
Orientation sexuelle : ( BISEXUELLE ) attirée par tous ces corps qui se meuvent autour d'elle.
Âme sœur : ( PERSONNE ) n'a osé se manifester jusqu'à lors.
Allégeance : ( MARCHANDS DE SABLE ) qui l'ont recueillie, ( MÈRE NOIRE ) maîtresse de son culte.
Aesthetic 1 :
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805, elysium
les billes sombres de kora roulent jusqu'au ciel en soufflant la fumée par ses narines. ce petit prétentieux attise sa curiosité tout autant que sa patience; elle aimerait savoir ce qui l'a poussé à vouloir se faire tabasser à mort par franck. mais il n'a pas l'air de vouloir lui confesser cette vérité. pour l'honneur, sans doute.
il n'a pas l'air un brin impressionné par la menace de la brunette, au contraire. ce sourire qui persiste sur ses lèvres boursouflés est encore davantage emprunt de défi. ce gars n'a-t-il vraiment aucune limite ? prêt à se laisser mourir dans une ruelle sombre par un colosse baraqué, et laisser la féline terminer le travail après lui ? kora n'arrive pas à cerner cette personnalité hors norme, et lorsqu'il éclate de rire, la moindre de ses théories vole en éclat.
le blond se permet la familiarité d'aller jusqu'à poser sa paume sur l'épaule de la diurne. un sourcil s'élève pendant qu'elle le regarde se tenir les côtes, essuyer une larme au coin de son oeil. elle n'a pas dû assister au même spectacle que lui. elle ne trouve rien de drôle dans son inquisition, et d'ailleurs l'hybride n'est pas connue pour son sens de l'humour. pourtant, il semble qu'elle a touché ce type en plein dans sa faiblesse. il ne lui aura pas fallu un coup pour le mettre à terre, une question à propos de sa mère a simplement suffi.
elle n'apprécie pourtant pas cette familiarité qu'il a de claquer cette paluche sur son bras, et elle s'en retire sèchement. ne comprend pas tellement s'il se fout ouvertement de sa gueule ou s'il est juste con. à son commentaire positif, elle fait néanmoins,
quand il lui demande ce que sera la suite, c'est à son tour de ricaner.
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Âme sœur : Yseult Efterår devant la Mère, Kora Shomari devant l'Obscure
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TW : automutilation
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Son état prêterait davantage à pleurer, à s’appitoyer tout au plus, mais certainement pas à se laisser aller à un fou rire incontrôlable lui secouant les côtes fêlées. Athimod passe pour un fou furieux, sans doute en est-il un, finalement, à se faire ainsi passer volontairement à tabac dans l’espoir d’être laissé pour mort, tout ça pour se sentir plus vivant qu’il ne l’est. Il y a échappé une fois, à l’étreinte froide du sommeil éternel, en a réchappé en prenant la vie de son propre frère, se faisant fratricide et prenant l’exil pour finir de sauver sa peau, se protéger des siens, de son reflet devenu son pire ennemi. Et si son errance l’a entraîné jusqu’entre les bras de l’Obscure, malgré l’adoration qu’il voue à cette dernière, son coeur noirci par son crime premier et ceux qui se sont enchaînés n’a jamais plus trouvé d’autre raison de battre qu’en se trouvant si près de cesser. Et les billes azures qu’il pose sur cette femme dont la noirceur égale la sienne sont loin d’imaginer qu’elle sera bientôt celle pour qui son myocarde continuera de battre.
Pour l’heure, elle n’est qu’une délicieuse vision, pourrait être le fruit d’un délire causé par un dernier coup porté par le videur que ça n’étonnerait même pas l’impertinent qui se fout bien d’être en train de causer dans le vide, de se marrer pour une connerie qu’aurait généré son propre esprit. Il s’essuie une larme de cette dextre qu’il possède encore.« Ah bah non, ça s’rait franch’ment dommage, t’as ça dans l’sang ! » Car ça n’est pas la première fois qu’il l’a vue se déhancher dans ce petit cabaret, et c’est bien la seule qui a su capter son attention à chaque fois qu’il y a foutu les pieds. Il y a quelque chose en elle qui fait écho à ce qui sommeille en lui, quelque chose de sombre, une obscurité à laquelle il a déjà vendu son âme quand l’Obscure l’a fait entrer dans ses rangs. Rien d’étonnant à ce que ce soit elle qu’il imagine dans cette ruelle mal éclairée, car c’est elle seule qui a suscité son intérêt.
Mais malgré ce qu’il s’imagine n’être qu’une illusion, malgré le reste d’Elysium qui pourrait lui promettre une fin de soirée plus douce, entre les cuisses d’une donzelle ou accoudé à un bar, c’est le coup de grâce qu’il réclame à la danseuse, à sa propre manière, Qu’elle le sonne une fois pour toutes et qu’il finisse sa nuit contre ce mur, ne se réveille qu’aux premières lueurs pour ramper vers le premier dispensaire venu, qu’on le retape pour qu’il puisse y retourner le soir même. Mais la belle ne semble pas l’entendre de cette oreille là, exhibe ses ongles manucurés que le divergent regarde en ricanant.« Allez, t’peux bien faire une exception pour mo… AAAAAH PUTAIN ! » Une douleur insoutenable sur cette clavicule que laisse largement apparaître sa chemise malmenée par les paluches du videur, celle d’Athimbod qui se saisit machinalement, fermement, du poignet gracile qu’elle enserre, qu’elle dévie. Son palpitant s’emballe sous cette souffrance soudaine, les pupilles se dilatent alors qu’il réalise que celle qu’elles fixent est finalement belle et bien vraie, faite de chair, de sang et d’un foutu sadisme qui lui fait reprendre quelque peu ses esprits. Le torse en sueur du divergent se soulève d’un souffle rapide, profond, et sa dextre maintient inflexiblement la danseuse foutrement près de son visage barré d’un sourire provocateur. « T’es loin d’êt’ la première à t’y essayer . » Car aux côtés de la peau brûlée se dessinent d’autres traits, vestiges d’une existence trop longue ne l’ayant jamais pris en pitié. De sa propre famille aux adversaires trop nombreux qu’il a cherchés ou l’ont trouvé, nombreux sont celles et ceux ayant marqué le derme de celui que l’on répudie, que l’on méprise, qui n’a trouvé comme réconfort qu’un culte presque oublié, la douleur physique qu’il cherche sans cesse à s’infliger, et que cette femme à la touche ardente rendra plus désireux que jamais de cesser de survivre. La dextre se resserre davantage, rapproche la main effilée ornée d'ongles trop précieux pour être abîmés, et l'entraîne vers son sternum où s'écrasent les dernières braises de la cibiche dans une douleur maîtrisée que le divergent accueille sans broncher. « ‘Va falloir mieux faire pour m’rester en tête ma belle. »
Pour l’heure, elle n’est qu’une délicieuse vision, pourrait être le fruit d’un délire causé par un dernier coup porté par le videur que ça n’étonnerait même pas l’impertinent qui se fout bien d’être en train de causer dans le vide, de se marrer pour une connerie qu’aurait généré son propre esprit. Il s’essuie une larme de cette dextre qu’il possède encore.
Mais malgré ce qu’il s’imagine n’être qu’une illusion, malgré le reste d’Elysium qui pourrait lui promettre une fin de soirée plus douce, entre les cuisses d’une donzelle ou accoudé à un bar, c’est le coup de grâce qu’il réclame à la danseuse, à sa propre manière, Qu’elle le sonne une fois pour toutes et qu’il finisse sa nuit contre ce mur, ne se réveille qu’aux premières lueurs pour ramper vers le premier dispensaire venu, qu’on le retape pour qu’il puisse y retourner le soir même. Mais la belle ne semble pas l’entendre de cette oreille là, exhibe ses ongles manucurés que le divergent regarde en ricanant.
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les billes sombres de kora scrutent avec attention les traits du gaillard en face d'elle. elle essaie de le comprendre. de saisir le fond de sa pensée. de son esprit. mais rien ne vient. elle ne voit en face d'elle... qu'une enveloppe vide. cet homme a l'air totalement décroché de la réalité, n'a conscience de rien, pas même de son être. il semble à la fois perdu et savoir exactement où il se trouve. kora se retrouve un peu en lui, dans cet esprit qui n'a plus rien à perdre. personne ne compte sur elle. personne ne la porte dans son coeur. elle est tellement seule, brisée. à cette époque, elle essaie encore d'enterrer fauve car elle ressurgit souvent. véritable animal sauvage traumatisé, marqué à vie par les évènements qu'elle a encourus.
elle ne prend pas le compliment. le laisse s'envoler. des paroles en l'air. le blond manie bien les mots, c'est certain. et sans compter qu'il a totalement raison. kora n'a aucune chance si elle quitte le milieu de la danse pour la scène humoristique. il n'a pas tord non plus en beuglant qu'elle a ça dans le sang. elle se souvient du désert, dans la vie d'eiwa, aux côtés de ses parents. les soirées autour du feu lorsqu'elle et sa mère dansaient pendant que son père jouait du rebab. de bien lointains souvenirs qu'elle honore, silencieuse, sur les scènes des cabarets d'elysium des décennies plus tard.
à l'attaque de sa cigarette, le gars beugle et attrape le poignet de la malfaisante qui se pare de son plus beau sourire avant d'éclater d'un rire moqueur. kora devient prisonnière, son visage plus proche du blond qu'elle ne l'avait calculé, et elle retrouve son sérieux quand un air provocateur se dépeint sur les traits du fae. les mirettes sombres de la panthère tombent vers la marque qu'elle vient d'apposer sur la peau claire. une jolie brûlure circulaire orne un coin de sa clavicule. kora est plutôt fière de son travail, même si malgré la mauvaise luminosité de la rue et le peu qu'en laisse paraître la chemise du blond, elle discerne de nombreuses autres marques. guerrier ou inconscient, il n'a pas été épargné par la vie non plus. les cicatrices de kora héritées des labos sont encore bien visibles à l'époque, même si les plus profondes d'entres elles demeurent celles sur ses ailes irrécupérables.
toujours emprisonnée, il se sert de sa main comme d'une marionnette pour écraser les cendres un peu plus bas sur son torse. alors, cette fois-ci complètement éteinte, kora lâche le mégot qui tombe sur les pavés.
elle place ses paumes sur ses épaules pour le faire pivoter face à elle.
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ft. @Kora Shomari | avril 805
Elle est proche. Très proche. Jamais trop, jamais assez, il aurait presque envie de réduire ce qu’il reste de distance à néant juste pour voir, juste pour sentir, s’imagine que ses étreintes sont aussi peu douces que ses tourments. Mais il n’en fait rien, s’adonne à ce jeu étrange né de leurs esprits dérangés, troublés par une obscurité à laquelle ils appartiennent tous deux, à celle vers laquelle le divergent se dit qu’il offrirait bien cette danseuse tant elle plairait à l’Obscure. Athimbod lui tient tête, malgré son état, laisse pourtant entrevoir une vigueur persistante dans la force avec laquelle il maintient, marque son poignet délicat, avec laquelle il l’entraîne contre son sternum et accueille la douleur sans perdre le sourire. Cette marque-ci disparaîtra, se laissera presque oublier sous celle qui la recouvrira d’ici quelques années, qui le liera à jamais à cette femme dont il ignore encore le nom. Elle ne se rappellera à lui qu’au léger relief qui persistera, en plein centre de l’astre solaire qui s’y sera étendu, qui tiendra en étau ses poumons comme son palpitant.
Le divergent la provoque, la défie, semble ne demander qu’à ce qu’elle le marque davantage, qu’elle laisse une marque indélébile sur son corps, mieux, son esprit, puisque sa carcasse manque cruellement de place, zébrée de stigmates relatant sa vie passée ou celle qu’il a choisi de mener à présent. Il sourit contre le souffle brûlant lui caressant les lèvres, ricane doucement au doute qu’elle évoque.« L’un va rar’ment sans l’autre, non ? » Il faut du courage pour être con à ce point, tout comme il faut être sacrément con pour faire preuve de courage et oublier tout instinct de survie. Et dans les deux domaines, on peut dire qu’Athimbod excelle.
Elle lui fait une promesse qui ressemble davantage à une menace, mais ne récolte qu’un sourire satisfait ce celui qui lui vouera un amour si féroce, si profond que même les Gris ne sauront l’effacer de ses songes. Ils ne le savent pas encore, les deux brisés, ne voient là qu’une parenthèse dans leurs existences trop empreintes de leurs passés respectifs, mais l’intensité de cette première rencontre est à l’image de ce qui les liera, de ce qui les unira face à l’Obscure, d’une passion intarissable entre deux êtres que seul le Crépuscule sera capable de séparer, mais que le Destin finira par faire se retrouver.« Elles disent toutes ça. » Il exagère un peu, assez, certainement pas son nombre d’amantes mais celles ayant eu la prétention de croire qu’elles parviendraient à le changer.
Il est un cas désespéré, c’est dans son sang, sur sa tronche, dans son statut de paria qu’on ne devine pourtant pas en le voyant pour la première fois. S’il ne partage pas les traits caractéristiques de la noblesse estivale, on l’imagine aisément en être du bas-peuple, c’est d’ailleurs ce que ce nom qu’il s’est attribué est voué à laisser penser. Athimbod Nimritel, enfant de rien surgi du néant, pas bien loin des racines de ce Tristram Vitalba qu’il a laissé pour mort, enfant des rues sans autre avenir que celui d’un pion dans une famille n’usant de lui que pour sa ressemblance frappante avec son frère. Cette Mère que tous vénèrent ne l’a jamais destiné qu’à une vie de misère, une à laquelle il s’est résigné et à laquelle il n’a jamais compté échapper, malgré les tentatives de quelques utopistes amantes qu’il a eu tôt fait de délaisser. Alors pourquoi cette femme parviendrait-elle à le transformer, à lui donner goût à une vie à lequelle il se raccroche par lâcheté plutôt que par ce courage qu’elle lui prêterait presque ?
L’obscurité se fait, aveugle le divergent qui ne panique pas pour autant, ferme simplement les yeux pour tenter de l’écouter, de l’entendre se mouvoir, de sentir ce parfum dont il ne saura bientôt que s’enivrer. Elle se glisse derrière lui, et le printanier tressaille sous cette caresse qu’il sait trop douce pour cette femme trop sauvage, s’attend déjà à cette nouvelle douleur qu’elle lui inflige et qu’il accueille dans sifflement glissé entre ses dents serrées. Et la belle réitère, et le divergent la laisse faire, subit ces ongles si précieux dans sa chair en expirant soupirs brûlants glissés entre ses lèvres étirées d’un sourire satisfait. Plus que la douleur reçue, ce sont ces caresses qui lui restent en tête en cet instant, la sensualité débordante dont fait preuve la danseuse et qui lui ferait presque oublier qu’il comptait finir à deux doigts de crever. C’est elle qui le lui rappelle d’un murmure contre ce cou tenant sa caboche basculée en arrière. Par l’Obscure, elle est douée, il doit bien le lui reconnaître. Peut-être se souviendra-t-il d’elle quelque temps, finalement.« Y’a qu’à deux doigts d’la mort qu’on s’rappelle qu’on préfère vivre. » Des paroles bien sombres, pour celui qui se plaît à se faire passer pour un sombre crétin, qui finit par devenir ce qu’il prétend être plutôt que de faire face à ses propres tourments.
Mais voilà que l’un de ceux qui le ronge au plus profond lui échappe dans un souffle, sa gorge vibrant sous les pulpeuses de la danseuse qui le tourne enfin vers elle et lui confesse l’intérêt certain qu’elle porte à ce jeu étrange s’étant instauré entre eux. Athimbod lui sourit en réponse, plus débraillé encore qu’il ne l’était alors que la belle a fait glisser les lambeaux de sa chemise pour dévoiler ses épaules finement taillées qui roule sous son derme alors qu’il lève un bras vers elle et que sa dextre s’empare de la fine mâchoire de celle qu’il plaque contre le mur en pierre et dont il caresse à son tour les lippes de son souffle. Il veut lever tout soupçon, laisser comprendre que, malgré les apparences, il n’est pas homme à se laisser si aisément martyriser, il est le maître de ses propres souffrances, de sa propre douleur, et est tout autant capable d’en infliger si l’envie lui en prend.« Mmmh, ça vaudrait presque l’passage à tabac qu’t’as interrompu. » Ses billes bleues détaillent ce visage qu’il prend enfin la peine de détailler, tous ces traits qu’il saura par coeur et qui ne le quitteront jamais, ceux qu’il découvre pour la première fois sous la lumière blafarde de quelques candélabres daignant les rendre visibles l’un de l’autre. L’étau de sa main se desserre, laisse quelques marques rougies sur la mâchoire dessinée de la jeune femme qui n’a plus rien à faire dans cette allée, la cibiche finalement consumée, mais qui s’y attarde pour cet inconnu qu’il est. « Et toi, ma belle, t’as pas aut’ chose à foutre que d’suivre les délires d’un paumé comme moi ? »
Le divergent la provoque, la défie, semble ne demander qu’à ce qu’elle le marque davantage, qu’elle laisse une marque indélébile sur son corps, mieux, son esprit, puisque sa carcasse manque cruellement de place, zébrée de stigmates relatant sa vie passée ou celle qu’il a choisi de mener à présent. Il sourit contre le souffle brûlant lui caressant les lèvres, ricane doucement au doute qu’elle évoque.
Elle lui fait une promesse qui ressemble davantage à une menace, mais ne récolte qu’un sourire satisfait ce celui qui lui vouera un amour si féroce, si profond que même les Gris ne sauront l’effacer de ses songes. Ils ne le savent pas encore, les deux brisés, ne voient là qu’une parenthèse dans leurs existences trop empreintes de leurs passés respectifs, mais l’intensité de cette première rencontre est à l’image de ce qui les liera, de ce qui les unira face à l’Obscure, d’une passion intarissable entre deux êtres que seul le Crépuscule sera capable de séparer, mais que le Destin finira par faire se retrouver.
Il est un cas désespéré, c’est dans son sang, sur sa tronche, dans son statut de paria qu’on ne devine pourtant pas en le voyant pour la première fois. S’il ne partage pas les traits caractéristiques de la noblesse estivale, on l’imagine aisément en être du bas-peuple, c’est d’ailleurs ce que ce nom qu’il s’est attribué est voué à laisser penser. Athimbod Nimritel, enfant de rien surgi du néant, pas bien loin des racines de ce Tristram Vitalba qu’il a laissé pour mort, enfant des rues sans autre avenir que celui d’un pion dans une famille n’usant de lui que pour sa ressemblance frappante avec son frère. Cette Mère que tous vénèrent ne l’a jamais destiné qu’à une vie de misère, une à laquelle il s’est résigné et à laquelle il n’a jamais compté échapper, malgré les tentatives de quelques utopistes amantes qu’il a eu tôt fait de délaisser. Alors pourquoi cette femme parviendrait-elle à le transformer, à lui donner goût à une vie à lequelle il se raccroche par lâcheté plutôt que par ce courage qu’elle lui prêterait presque ?
L’obscurité se fait, aveugle le divergent qui ne panique pas pour autant, ferme simplement les yeux pour tenter de l’écouter, de l’entendre se mouvoir, de sentir ce parfum dont il ne saura bientôt que s’enivrer. Elle se glisse derrière lui, et le printanier tressaille sous cette caresse qu’il sait trop douce pour cette femme trop sauvage, s’attend déjà à cette nouvelle douleur qu’elle lui inflige et qu’il accueille dans sifflement glissé entre ses dents serrées. Et la belle réitère, et le divergent la laisse faire, subit ces ongles si précieux dans sa chair en expirant soupirs brûlants glissés entre ses lèvres étirées d’un sourire satisfait. Plus que la douleur reçue, ce sont ces caresses qui lui restent en tête en cet instant, la sensualité débordante dont fait preuve la danseuse et qui lui ferait presque oublier qu’il comptait finir à deux doigts de crever. C’est elle qui le lui rappelle d’un murmure contre ce cou tenant sa caboche basculée en arrière. Par l’Obscure, elle est douée, il doit bien le lui reconnaître. Peut-être se souviendra-t-il d’elle quelque temps, finalement.
Mais voilà que l’un de ceux qui le ronge au plus profond lui échappe dans un souffle, sa gorge vibrant sous les pulpeuses de la danseuse qui le tourne enfin vers elle et lui confesse l’intérêt certain qu’elle porte à ce jeu étrange s’étant instauré entre eux. Athimbod lui sourit en réponse, plus débraillé encore qu’il ne l’était alors que la belle a fait glisser les lambeaux de sa chemise pour dévoiler ses épaules finement taillées qui roule sous son derme alors qu’il lève un bras vers elle et que sa dextre s’empare de la fine mâchoire de celle qu’il plaque contre le mur en pierre et dont il caresse à son tour les lippes de son souffle. Il veut lever tout soupçon, laisser comprendre que, malgré les apparences, il n’est pas homme à se laisser si aisément martyriser, il est le maître de ses propres souffrances, de sa propre douleur, et est tout autant capable d’en infliger si l’envie lui en prend.
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elle est ravie de son jeu de charme. invisible, elle tourne autour de lui et impose ses griffes par surprise à différents endroits de son corps. elle laisse dans son sillage des traînées rouges d'où certaines perlent des gouttes de sang rouge vif. elle sent son souffle chaud s'accélérer en dépit de laisser échapper la moindre plainte. c'est déjà suffisamment plaisant. réapparaissant dans son dos, le fae évoque pour la première fois une pensée sincère. kora s'arrête, digère l'information. ces mots qui font écho en elle, dans ce corps meurtri par les scientifiques de l'aube. un frisson remonte le long de son échine. il n'est pas si bête qu'il le laisse paraître finalement. et c'était ce dont elle souhaitait s'assurer.
revenus en face à face, amusée par ce jeu qui éveille de drôles étincelles dans ses entrailles, elle ne se défend pas une seconde lorsque sa poigne s'empare de son visage et la plaque contre le mur de la rue. c'est à son tour de sourire, plutôt ravie de voir l'incapable sortir ses propres griffes. elle savoure cette tension, la respiration de l'homme si proche d'elle, partageant leurs souffles par leur proximité.
la hargne dans son poing se détend. kora est déçue de ressentir l'adrénaline redescendre si vite dans ses veines. la question du blond la ramène à cette réalité morose alors qu'enfin elle s'amusait un peu.
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