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[INTRIGUE] La Marée Monte
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Ares Kovács
Solaris Delsarte
Aedan Madsen
Suni Sha'Hwang
Eris Lynch
Kora Shomari
Aslan Ghafa
Velinka Shuksin
Nyx Lynch
Louve Savelli
Sylas Frasier
The Mother
16 participants
Illyrien·ne de la Nuit
Pseudo : Raven
Pronoms irl : Elle
Faceclaim : Benjamin Wadsworth (james & the moon)
Comptes : Esmeraldian (l'Eclair Rouge) - Yseult (la Sirène)
Messages : 20
Aeskells : 222
Triggers : à discuter ensemble !
Contents : Violence, manipulation, sexualité
Pronom : Il, lui
Âge : 27 ANS | Terriblement jeune pour avoir sur le dos un si gros nombre de péchés
Race : ILLYRIEN | profondément fier, aux ailes membraneuses d'un bleu profond
Cour : APATRIDE | si autrefois il a rêvé de trouver sa place entre le Jour et la Nuit, il s'épanouit dans le chaos d'une identité qui se détache de toute Cour
Résidence : VAGABOND | qui suit le cour de l'eau et les étoiles dans le ciel, sait transformer un taudis en palais, trouver du luxe dans les tréfonds du monde
Occupation : VOLEUR | Chapardeur, charmeur et appât préféré des Stormaengir
Statut social : MOINS QUE RIEN | aux allures d'ange déchu, aux goûts de Prince
Statut civil : SEUL | l'attachement comme de nouvelles chaînes qu'il ne souhaite pas s'imposer
Orientation sexuelle : ♂ | Si les femmes sont d'exquises créatures, il ne tombe que pour les HOMMES et leur fierté, leurs lignes et leurs râles
Âme sœur : SANS | S'il est curieux, c'est pour de mauvaises raisons. S'intrigue de savoir comment son corps pourrait se plier à la volonté d'une puissance supérieure qu'il ne respecte pas.
Allégeance : STORMVAENGIR
Aesthetic 1 :
Aesthetic 2 :
Aesthetic 3 :
Peuple
nous sommes légions
Ombres
magie de la nuit
Stormvaengir
liberté aux ailés
Arc-en-ciel
perso LGBTQ
Multicompte
j'me suis dédoublé·e
La Marée monte
Sujet commun — 30 septembre 838 | OUTFIT
"The demons you forgot about
In the blind spot sitting in the back
Not making a peep,
Invisible to me ya
Corrupted should don’t know
Got black mold behind the drywall
Wanna care but I don’t
Do Whats right but I won’t
Wanna be found
Lettin loose the inner animal" ♪
In the blind spot sitting in the back
Not making a peep,
Invisible to me ya
Corrupted should don’t know
Got black mold behind the drywall
Wanna care but I don’t
Do Whats right but I won’t
Wanna be found
Lettin loose the inner animal" ♪
Ares écoute la brune lui répondre avec des petits dodelinements de la tête, dans quitter des yeux l’assemblée autour d’eux. La jaspe parcourt le tout d’un air distrait, même si ce n’est qu’une parade pour camoufler son examen minutieux. Hm… Chez pas, articule l’illyrien en mâchant sa pâtisserie, rétorquant quand à l’ambiance qu’ils mettraient s’ils avaient été dans l’enceinte du palais à la place des éoles. Pour ma part, j’aurais juste foutu le plus gros bordel possible. Histoire qu’ils le sentent passer. Et ça aurait pu être dit sous le ton de l’humour, mais le sourire narquois qu’il adresse à Solaris laisse clairement entendre qu’il ne plaisante pas. Le nocturne prendrait plaisir à mettre le feu à ces nobliaux qui leur rient au nez avec cette nourriture.
Comme s’il avait parlé tout haut, voilà la foule qui s’éveille encore davantage. Et si l’hybride en souffle, la poitrine du métisse se gonfle d’une euphorie qui se contient mal. C’est jamais trop tôt pour que la fête commence vraiment.
Il trépigne presque, tapant du pied alors que son éole sinue jusqu’à eux pour les interroger. Y étaient déjà là quand je suis arrivé, difficile de les louper. Et c’est la vérité, les deux énergumènes sortent quand même assez facilement du lot. La brunette en armure a d’ailleurs arraché un sourire mauvais au nocturne en repoussant un soulard s’écrasant par terre.
Ares attend avec impatience les directives d’Edvin, tendant sans la regarder une meringue à Solaris dont le ventre crie famine. C’était toujours lui qui lui donnait les consignes, alors il en avait déduit qu’il devait se situer plus haut dans la hiérarchie. Et, malgré sa propension à être un disciple particulièrement… indiscipliné, Ares entend bien exécuter parfaitement le plan que l’illyrien mettra en place. Alors il se décolle du mur pour déployer lentement ses ailes bleutées, la carrure droite et à l’affût, il désigne le buffet au loin du menton avec un rictus en l’affublant de son surnom impertinent préféré : Eddy, tu devrais aller manger un baklava : y en aura pas pour tout le monde.
- Résumé:
- - Ares discute avec @Solaris Delsarte en observant autour d'eux la foule qui s'agite
- Il renseigne @Edvin Løvendal sur la situation ( @Aedan Madsen @Luz Monteserre ) en filant à manger à Solaris, et en se tenant prêt
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Runaway Troublemaker
Hybride du Printemps
Pseudo : enfant sauvage
Pronoms irl : (elle, iel)
Faceclaim : Jack O'Connell + andthesunrisesagain (ava), kadygrants (gif), alcara (signa) et primaluce (aes)
Comptes : Cesare, Revka, Adrielle, Atlas & Jin.
Messages : 380
Aeskells : 1111
Triggers : A discuter.
Contents : Abandon d’enfant, violence, meurtre.
Pronom : IL
Âge : 91 YO
Race : HYBRIDE
Cour : PRINTEMPS
Résidence : ELYSIUM
Occupation : LIEUTENANT — chez les Marchands de Sable, princes des rues d'Elysium et seigneurs parmi les insoumis.
Statut social : FILS DE RIEN
Statut civil : SEUL
Orientation sexuelle : HETERO
Âme sœur : ELLE
Allégeance : AUX MARCHANDS DE SABLE
Aesthetic 1 :
Aesthetic 2 :
Aesthetic 3 :
Staff
je gère la place
Peuple
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Printemps
fidèle à la cour du printemps
Terre
magie du printemps
Sandman
famille pour les exclus
Ancien·ne
j'étais là avant le reboot
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En PLS
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Reliques & chaos
J'ai tenté de voler la Coupe
Team Tortue
j'écris mes rps tranquillou
La marée monte
Sujet commun — 30 septembre 838
Y a une partie de lui qui est submergée de bonheur de les voir tous là, souriants et de bonne humeur autour d’une table de la taverne. Ils sont sa famille, celle qu’il a trouvée, comme il aime le dire. Mais une partie de lui songe souvent qu’il ne l’a pas seulement trouvée, il l’a créée… Il salut Louve d’un grand sourire lorsqu’elle arrive à son tour, un plateau chargé de bières bien remplies. Velinka est la suivante, pressant le pas pour se joindre à eux, mettant rapidement la main sur une boisson. «À la vie ! » renchérit-il alors que Kora lève son verre. Il s’apprête à répliquer pour dire qu’il n’a aucun intérêt à savoir lequel des Suprêmes viendra asseoir son cul sur le trône du Palais des Mirages lorsque son regard se détourne vers les silhouettes pointées par Aslan qui discute à voix basse avec Velinka. Ses sourcils se froncent en apercevant les deux femmes presque identiques. L’une d’entre elles ne tarde pas à s’emmener, traînant l’autre dans son sillage pour venir apostropher Aslan qui ne semble pas secoué par sa présence, affichant d’abord une désinvolture étudiée.
S’il se sent déconcerté par la situation, il suit Suni, s’efforçant de ne rien laisser paraître de son trouble, détournant le regard vers le grabuge qui se fait entendre plus loin dans la rue. Décidément, cette soirée serait bien plus mouvementée que l’année précédente. Il hésite à demander aux autres s’ils préfèrent partir. Après tout… ils sont venus ici pour se détendre, pas pour se retrouver mêlés à une foule mécontente. Avant qu’il ne puisse ouvrir la bouche, une chaise vole dans leur direction, renversant les bières sur la table et heurtant sa main qui était posée là. La colère remonte en lui instantanément. Il repousse sa chaise pour héler les responsables. «Mais c’est quoi, votre putain de problème ? Si vous voulez vous taper sur la gueule, allez le faire ailleurs ! Une main se pose sur son bras pour l’empêcher d’éclater plus encore et la colère retombe un peu.Mais qu’est-ce qui se passe, à la fin ? » Il cherche du regard, mais les commotions semblent éclater un peu partout.
- Résumé:
- Sylas est content de voir ses potes des @Marchands de Sable. Il est surpris par l'altercation entre Aslan et @Eris Lynch, mais tente de ne rien laisser paraître. Quand une chaise vole vers eux, il pète un p'tit câble et se demande ce qui se passe.
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mister sandman
I'm so alone. Don't have nobody to call my own. They turned on their magic beam. Mr Sandman brought me a dream...
Grand·e Fae du Printemps
Pseudo : Klemannt
Pronoms irl : Il/He/Lui
Faceclaim : j. chastain (ethereal)
Comptes : Marjolaine x Nehtë x Ambroise x Chunhua
Messages : 23
Aeskells : 101
Triggers : aucun.
Contents : Mort, maladie, extrémisme religieux.
Pronom : Elle/Sher/Her
Âge : 94 ans
Race : Grand Fae.
Cour : Elysium.
Résidence : Elysium. Hôtel des Charités.
Occupation : Fondatrice et doyenne de l'Hôtel des Charités.
Statut social : Baronne douairière.
Statut civil : Veuve de Basile de la Peyrière (809).
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
Âme sœur : Basile de la Peyrière ✞
Allégeance : Hôtel des Charités. Maison de la Peyrière. Maison Havilliard. Culte des Premiers.
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Aesthetic 2 :
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Noble
je suis de l'élite
Terre
magie du printemps
Foi des premiers
Je vénère les premiers faes
Âme sœur
j'ai trouvé ma moitié
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j'me suis dédoublé·e
La Marée Monte
Sujet commun — septembre 838
Gabrielle avait pris l’habitude d’arpenter Elysium pendant les Bals précédant la fin du rituel de la Haute Suprématie. Jusqu’à la mort tragique de son époux, il y avait de cela trente ans, elle avait continué à assister aux festivités de l’autre côté de la muraille du Palais des Mirages… Puis… Elle avait décidé que sa place n’était plus là-bas. Longtemps, elle avait senti un certain déclassement dans le regard de ses nobles homologues, elle, fille de comte, influente maison Printanière, qui avait épousé, certes par amour, un baron sans pouvoir ni inépuisable richesse. Elle avait troqué une vie de bienfait pour une vie de labeur, et ça, cela avait demeuré incompréhensible pour ceux d’en haut. Inutile donc de dire que quand l’occasion s'était montrée de ne plus paraître à pareille supercherie, elle l’avait sentie plutôt deux fois qu’une… Puis il y avait la Charité. Son hôtel des misères. Son logis des pauvres. Et elle avait trouvé du sens à une existence qui n’en avait pas, en dehors de son rôle de mère. Depuis, chaque année, elle vagabondait dans les rues, s'autorisant de humer l’air gorgé d'allégresse et de joie, fêtant la fin du calvaire qui emplissait les bas quartiers de la capitale lorsque les seigneuries de tout le continent débarquaient en ville. Pourtant. Ce soir. L’air n’était pas gorgé de joie et d'allégresse. L’air était différent. La tension palpable. Le vent vicié montait des bas-fonds d’Elysium pour embaumer l’arc d’Argent… Il ne s’agissait pas que des relents d’alcool. Non. Il s’agissait bien plus d’un goût piquant, amer et inflammable. Observant avec inquiétude les rixes commencer bien plus tôt qu’à l’accoutumée, la peur gagner les parents qui prient le parti de ramasser leurs enfants, certains commerçants de fermer leurs échoppes… Gabrielle se décida à rebrousser chemin, espérant intérieurement qu’il n’était pas déjà trop tard pour recouvrer la protection de son foyer.
Grand·e Fae de l'Automne
Pseudo : Sammix
Pronoms irl : Il
Faceclaim : Matilda de Angelis & Demelza/Visenya
Messages : 873
Aeskells : 1278
Triggers : Aucun en particulier pour moi, tout est discutable ♥
Contents : Violence + ...
Pronom : Elle
Âge : 84 ans (10 juin 754)
Race : Grande Fae
Cour : Automne
Résidence : Un peu partout, elle voyage beaucoup
Occupation : Actrice
Statut social : Elle a ce qu'il faut pour vivre
Statut civil : Célibataire
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Âme sœur : Aucune pour le moment, à priori
Allégeance : Automne
Peuple
nous sommes légions
Automne
fidèle à la cour de l'Automne
Feu
magie de l'automne
Beltane
j'ai survécu à Beltane 836
Bal des Mirages
j'étais au dernier bal de 836
Ancien·ne
j'étais là avant le reboot
La marée monte
Sujet commun — 30 septembre 838
Tu es sur la Grande Place d'Elysium comme beaucoup d'autres personnes en cette fin de saison sociale. La troupe ne joue pas ce soir, te laissant profiter de ces dernières festivités. Tu es fière de boire une gorgée de cette bière venant de ta cours d'origine, à savoir l'automne. C'est avec une presque insouciance que tu es là, amoureuse de la vie malgré les soucis que tu peux avoir, malgré les déboires de votre société actuelle, même si en te regardant, rayonnante comme toujours, il semblerait que tout cela ne t'atteigne pas. Tu es réellement heureuse, tu fais ce qui te plait comme travail, et même si ce n'est pas simple, que ça l'est de moins en moins d'ailleurs, tu t'amuses avec la troupe. Tu ne sais pas s'ils sont tous là ce soir, sans doute que certains sont restés à quai, se reposant, profitant que le monde soit ici pour faire les ours et ne pas sociabiliser. Pour certains, c'est un travail sur eux, pour toi, c'est tellement naturel d'être au milieu de la foule, des autres, même si tu cherches un visage connu, plus qu'une vague connaissance. Parce que oui, vous avez donné une représentation dans la semaine, et il y a quelques visages que tu reconnais parmi d'autres, ils étaient dans la foule de vos spectateurs. Tu pourrais t'amuser à les aborder, à jouer avec eux, mais parmi tous les visages, c'est une flamboyante rousse que tu reconnais en premier. Pourtant, la foule semble se mouvoir, s'énerver d'avantage que d'habitude, plus tôt aussi. Et la flamboyante rousse semble déjà vouloir rentrer. Peut être que tu devrais la suivre. Ainsi, finissant d'une traite la bière que tu avais entre les mains, tu la rejoins @Gabrielle de la Peyrière évitant un ou deux passants.
" Gabrielle, j'aurais aimé dire que c'était un plaisir de vous voir, mais le grabuge arrive déjà. Puis-je vous accompagner jusqu'à l'Hôtel des charités ? "
A deux, peut être que vous aurez plus de chances de vous en sortir, tu n'en es pas certaine, mais si elle ne désire pas ta présence, tu rentreras chez toi, enfin, ce qui te fait office de maison quand tu es à Elysium, puisque ton seul vrai chez toi se trouve à la cour de l'Automne, ailleurs, tu n'es qu'une nomade. C'est la vie que tu as décidée de choisir, et tu ne le regrettes pas.
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Hybride de l'Aube
Pseudo : ARKHAN
Pronoms irl : [ELLE]
Faceclaim : paola cossentino [AV] lumossolemstuff [GIF] ellaenys [ICONS] ellaenys
Comptes : [HASE] [LUZ] [GALE] [ZOYA]
Messages : 475
Aeskells : 3078
Triggers : [RAS] je peux tout lire.
Contents : [TW] expérimentations scientifiques, sévices physiques et psychologiques, mutilations, déviance mentale, violence, meurtres.
Pronom : [ELLE]
Âge : [42 ANS] qu'elle foule la terre vaine, semant cadavres et désolation dans son sillage.
Race : [HYBRIDE] aux oreilles pointues et aux ailes arrachées. stigmates d'un passé torturé qui n'a de cesse de la pourchasser.
Cour : [APATRIDE] aucun seigneur ne mérite sa loyauté, et elle se surprend même à rêver de tous les voir flamber.
Résidence : [ELYSIUM] sa zone de jeu, son terrain de chasse.
Occupation : [DANSEUSE] au sein du cabaret le Soleil de Minuit ; [ASSASSIN] régie par sa folie, ou par les désirs des Sandmen.
Statut social : [VERMINE] qui n'a jamais su où était sa place et qui erre de caniveaux en caniveaux.
Statut civil : [SEULE] trop sauvage pour se laisser dompter. le cœur trop souvent trahi et le corps meurtri par trop de tragédies.
Orientation sexuelle : [PANSEXUELLE] qui ne se l'avoue pas encore vraiment, rechignant bien trop souvent à se laisser aller.
Âme sœur : [ULYSSE] la Mère sait se montrer sarcastique, car il représente exactement tout ce qu'elle abhorre.
Allégeance : [ELLE-MÊME] avant tout. car les trahisons laissent un goût amer qu'il est impossible de faire disparaitre ; [SANDMEN] tant que leurs aspirations convergent avec les siennes.
Aesthetic 1 :
Aesthetic 2 :
Aesthetic 3 :
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Arc-en-ciel
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la marée monte
tw: Ø | outfit | 30 septembre 838
La situation s’envenime. De tous les côtés. Ça commence par Eris qui, accompagnée de sa sœur jumelle, se pointe comme une fleur au niveau de leur table pour incendier Aslan et leur chercher des noises. Puis ça continue, alors que les esprits s’échauffent autour d’eux. Eris, à l’évocation de son prénom, braque ses orbes courroucés en direction de Louve, semblant aussi surprise que décontenancée de la voir aux côtés d’Aslan. Si elle ne dit rien, le fait est qu’il est évident qu’elle n’en pense pas moins. Mais l’Illyrienne, devant l’agitation qui monte, préfère prendre congé, emportant avec elle Nyx. Le conseil qu’elle lance à la volée à Louve a le don de lui faire froncer davantage les sourcils. Louve se demandant ce que cela signifie. Est-elle au courant de quelque chose ?
Les Marchands de Sable n’ont pas le temps de se remettre de cette altercation que déjà une chaise vole dans leur direction, s’écrasant sur leur table pour renverser toutes les pintes de bière. Un sifflement agacé perce des lèvres de la Louve, imitée par tous les autres qui grognent et montrent les crocs. Louve s’est redressée d’un bond, à l’affut et prête à en découdre si nécessaire, ses mains se portant d’instinct au niveau de ses cuisses où siègent ses lames. Elle n’a cependant pas l’opportunité de les tirer, tant la situation la laisse pantoise. C’est comme si y’avait un virus dans l’air, qui contaminait tous ceux aux alentours pour décupler leur colère. Un brasier qui s’étendait peu à peu à tout l’Arc d’Argent, avec comme origine la Grande Place non loin d’eux. «J’vais voir c’qui s’passe, qu’elle souffle d’un ton résolu, se redressant de toute sa hauteur pour rapidement fendre la foule et remonter jusqu’à la Grande Place. » Plus elle avance, et plus elle entend les cris et les grognements. Jusqu’à se stopper à quelques pas d’Edvin et d’Ares –aux côtés d’une femme (Solaris) qu’elle ne reconnait pas mais qu’elle soupçonne appartenir elle-aussi aux Stormvaengir– qui observent les troupes postées non loin. « Qu’est-ce qu’ils foutent ici ? murmure-t-elle, surtout pour elle-même. » Rien de bon, très probablement…
Les Marchands de Sable n’ont pas le temps de se remettre de cette altercation que déjà une chaise vole dans leur direction, s’écrasant sur leur table pour renverser toutes les pintes de bière. Un sifflement agacé perce des lèvres de la Louve, imitée par tous les autres qui grognent et montrent les crocs. Louve s’est redressée d’un bond, à l’affut et prête à en découdre si nécessaire, ses mains se portant d’instinct au niveau de ses cuisses où siègent ses lames. Elle n’a cependant pas l’opportunité de les tirer, tant la situation la laisse pantoise. C’est comme si y’avait un virus dans l’air, qui contaminait tous ceux aux alentours pour décupler leur colère. Un brasier qui s’étendait peu à peu à tout l’Arc d’Argent, avec comme origine la Grande Place non loin d’eux. «
- résumé:
- @Suni Sha'Hwang @Aslan Ghafa @Sylas Frasier @Velinka Shuksin @Kora Shomari @Eris Lynch @Edvin Løvendal @Ares Kovács @Solaris Delsarte
- Louve, devant l'agitation qui monte en intensité, décide d'aller voir ce qui se passe.
- Elle remonte la rue jusqu'à débouchée au bord de la Grande Place.
- Elle remarque d'emblée Edvin et Ares et elle se stoppe, soupçonnant les Storm de potentiellement tramer quelque chose.
Grand·e Fae de l'Hiver
Pseudo : Nuage
Pronoms irl : elle
Faceclaim : Jonathan Bailey
Comptes : Mahaut de Boissieux
Messages : 15
Aeskells : 148
Triggers : /
Contents : Maltraitances infantiles, Violences, Discriminations, Dépression
Pronom : Il
Âge : 60 ans
Race : Grand Fae
Cour : Hiver
Résidence : Elysium, principalement. Isvann, quand il est nécessaire de revenir sur les terres familiales.
Occupation : Lieutenant de l'Arc d'Argent. Héritier mal aimé des Madsen.
Statut social : Héritier mal aimé de la glorieuse lignée hivernale des Madsen, notoirement en froid avec son Seigneur de père, militaire de carrière et Lieutenant d'Elysium ne devant cet honneur qu'à son travail, et non à son nom ou à l'arbitraire d'un.e seul.e.
Statut civil : Célibataire, ayant honoré des fiançailles imposées et avortées par le Fléau, libération appréciée, en dépit de la mort charriée.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel, jusqu'à preuve du contraire. Pour le moment, seules des femmes ont su l'émouvoir.
Âme sœur : Azalée Valois, bien qu'il l'ignore encore.
Allégeance : L'Hiver, sa Cour qu'il aime, en dépit d'elle-même parfois. Et le Concordat, à qui il doit la loyauté attendue d'un Lieutenant d'Elysium.
Noble
je suis de l'élite
Hiver
fidèle à la cour de l'hiver
Eau
magie de l'hiver
Âme sœur
j'ai trouvé ma moitié
Multicompte
j'me suis dédoublé·e
La marée monte
Sujet commun — 30 septembre 838
« Tout n’est pas obligé de mal se passer. Beaucoup d’efforts a été mis dans ce banquet, peut-être que … »
Un éclat non loin coupa Aedan. Ce dernier se mordit la langue. Etait-ce trop demander, que de pouvoir organiser un événement à destination première des familles et des plus modestes sans que des abrutis ne gâchent un moment de convivialité – et de bon pain sur la table – au milieu des difficultés du quotidien, accrues par les restrictions mises en place à la suite de la tentative de vol de la Coupe ? Restrictions certes difficiles, douloureuses, mais qui n’étaient rien sans ce qui aurait pu advenir de tous les rêves de bambins d’une large partie de la population d’Evanor … et de l’avenir de la race entière des Grands Faes. Pourtant, il n’était pas sourd, il entendait la peine, ici et dans l’Hiver notamment. Il aurait aimé faire plus que simplement donner des coups de main bénévoles quand il le pouvait dans les orphelinats de la Mère, ou auprès des nécessiteux. A croire qu’il était trop idiot de se préoccuper de cela, puisque manifestement, d’autres se donneraient toujours un malin plaisir pour empêcher les rires des gosses de s’épanouir. Et le fae sentit l’agacement l’envahir, en entendant Luz, en voyant les groupes d’imbéciles qui préféraient échanger des torgnoles que des toasts. Heureusement, il était un fae de l’Hiver, qui avait appris la contingence. Alors il inspira profondément et soupira, un air navré se peignant sur son visage, de concert avec sa comparse du soir :
« Oublie. Tu as raison, on n’est sans doute pas partis pour passer une bonne soirée. »
Il encaissa son coup dans les côtes, et tenta de lui offrir un pauvre sourire. Ses yeux balayaient la foule, et il sentait confusément les regards qui le fixaient en retour. La sensation fit revenir son calme habituel, ou plus exactement, la sensation de prélude au danger qui pulsait dans ses veines affûtait immédiatement ses sens, comme celle d’un Harkrone solitaire confronté à l’odeur d’un prédateur plus massif encore, au cœur d’un massif montagneux. Harkrone qu’il rappela d’un simple :
« Tyr ! »
Le molosse, qui se laissait volontiers grimper dessus par plusieurs mômes non loin, se releva doucement et écarta de la truffe les marmots pour revenir se coucher au pied de son maître, la truffe tournée vers ce dernier, dans l’attente du prochain ordre. La chaleur de l’immense animal réconforta son maître, qui lui caressa distraitement le haut du crâne. Ultime moment de douceur. Non sans vocaliser son impression à la Monteserre :
« T’as pas l’impression que c’est un peu … tôt, pour que les habituels bourrés et autres râleurs ne s’échauffent ? »
Que les festivités montent en pression à mesure que les heures défilaient, ce n’était pas une nouveauté. Qu’il y ait toujours quelques fortes têtes à interpeler discrètement non plus. La montée rapide en pression, loin des familles et des stands, le mettait en alerte. D’autant plus qu’il s’agissait de son quartier, et de sa responsabilité. Se tournant vers l’autre lieutenant, il compta mentalement les ressources dont tous deux disposaient. Avant de tourner à nouveau son attention vers la place, et de froncer un peu plus les sourcils. Les bagarres éclataient à plusieurs endroits, rendant des extractions ponctuelles complexes. Aedan chuchota en direction de Luz :
« Je crois qu’on va devoir commencer à intervenir. En douceur. Un écran sur le haut de la place autour des stands, c’est là que sont le plus de familles. Pour leur permettre de partir. Et si on y arrive … on avance ? »
Une fois son assentiment obtenu, le Madsen fit signe à ses sergents, donna ses ordres, et attendit que les troupes se mettent en place, lentement, pour limiter l’impression d’encerclement et exciter les plus énervés. Lui-même se porta au centre du dispositif, organisant ses miliciens du mieux qu’il le pouvait. Les regards n’avaient pas cessé, pesants. Il fit de son mieux pour les ignorer, et, s’adressant à plusieurs familles, lâcha de sa voix grave :
« Prenez vos enfants et rentrez. Ce sera sans doute plus prudent, le temps que les choses se calment. »
Discours rassurant, nécessaire – bien que peu susceptible d’être réaliste. Devant, la foule, avec ses épicentres de tensions. Derrière, le Palais des Mirages, fermé, cadenassé. Avisant un de ses miliciens, qui venait de la Nuit, il lui chuchota :
« Détache-toi, envoie tes ombres dans les recoins. Je veux savoir s’il y a des meneurs. »
Un éclat non loin coupa Aedan. Ce dernier se mordit la langue. Etait-ce trop demander, que de pouvoir organiser un événement à destination première des familles et des plus modestes sans que des abrutis ne gâchent un moment de convivialité – et de bon pain sur la table – au milieu des difficultés du quotidien, accrues par les restrictions mises en place à la suite de la tentative de vol de la Coupe ? Restrictions certes difficiles, douloureuses, mais qui n’étaient rien sans ce qui aurait pu advenir de tous les rêves de bambins d’une large partie de la population d’Evanor … et de l’avenir de la race entière des Grands Faes. Pourtant, il n’était pas sourd, il entendait la peine, ici et dans l’Hiver notamment. Il aurait aimé faire plus que simplement donner des coups de main bénévoles quand il le pouvait dans les orphelinats de la Mère, ou auprès des nécessiteux. A croire qu’il était trop idiot de se préoccuper de cela, puisque manifestement, d’autres se donneraient toujours un malin plaisir pour empêcher les rires des gosses de s’épanouir. Et le fae sentit l’agacement l’envahir, en entendant Luz, en voyant les groupes d’imbéciles qui préféraient échanger des torgnoles que des toasts. Heureusement, il était un fae de l’Hiver, qui avait appris la contingence. Alors il inspira profondément et soupira, un air navré se peignant sur son visage, de concert avec sa comparse du soir :
« Oublie. Tu as raison, on n’est sans doute pas partis pour passer une bonne soirée. »
Il encaissa son coup dans les côtes, et tenta de lui offrir un pauvre sourire. Ses yeux balayaient la foule, et il sentait confusément les regards qui le fixaient en retour. La sensation fit revenir son calme habituel, ou plus exactement, la sensation de prélude au danger qui pulsait dans ses veines affûtait immédiatement ses sens, comme celle d’un Harkrone solitaire confronté à l’odeur d’un prédateur plus massif encore, au cœur d’un massif montagneux. Harkrone qu’il rappela d’un simple :
« Tyr ! »
Le molosse, qui se laissait volontiers grimper dessus par plusieurs mômes non loin, se releva doucement et écarta de la truffe les marmots pour revenir se coucher au pied de son maître, la truffe tournée vers ce dernier, dans l’attente du prochain ordre. La chaleur de l’immense animal réconforta son maître, qui lui caressa distraitement le haut du crâne. Ultime moment de douceur. Non sans vocaliser son impression à la Monteserre :
« T’as pas l’impression que c’est un peu … tôt, pour que les habituels bourrés et autres râleurs ne s’échauffent ? »
Que les festivités montent en pression à mesure que les heures défilaient, ce n’était pas une nouveauté. Qu’il y ait toujours quelques fortes têtes à interpeler discrètement non plus. La montée rapide en pression, loin des familles et des stands, le mettait en alerte. D’autant plus qu’il s’agissait de son quartier, et de sa responsabilité. Se tournant vers l’autre lieutenant, il compta mentalement les ressources dont tous deux disposaient. Avant de tourner à nouveau son attention vers la place, et de froncer un peu plus les sourcils. Les bagarres éclataient à plusieurs endroits, rendant des extractions ponctuelles complexes. Aedan chuchota en direction de Luz :
« Je crois qu’on va devoir commencer à intervenir. En douceur. Un écran sur le haut de la place autour des stands, c’est là que sont le plus de familles. Pour leur permettre de partir. Et si on y arrive … on avance ? »
Une fois son assentiment obtenu, le Madsen fit signe à ses sergents, donna ses ordres, et attendit que les troupes se mettent en place, lentement, pour limiter l’impression d’encerclement et exciter les plus énervés. Lui-même se porta au centre du dispositif, organisant ses miliciens du mieux qu’il le pouvait. Les regards n’avaient pas cessé, pesants. Il fit de son mieux pour les ignorer, et, s’adressant à plusieurs familles, lâcha de sa voix grave :
« Prenez vos enfants et rentrez. Ce sera sans doute plus prudent, le temps que les choses se calment. »
Discours rassurant, nécessaire – bien que peu susceptible d’être réaliste. Devant, la foule, avec ses épicentres de tensions. Derrière, le Palais des Mirages, fermé, cadenassé. Avisant un de ses miliciens, qui venait de la Nuit, il lui chuchota :
« Détache-toi, envoie tes ombres dans les recoins. Je veux savoir s’il y a des meneurs. »
- Résumé:
- - Aedan répond à @Luz Monteserre et voit également la tension monter sur la place, ce qui est très loin de le ravir.
- Il propose à @Luz Monteserre de déployer leurs hommes en écran pour protéger la retraite des familles.
- Il envoie un de ses miliciens (PNJ) espionner les abords avec ses ombres pour chercher d'éventuels meneurs.
Under her eternal gaze
Pseudo : PNJ
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Contents : pandémie mondiale, mort, discrimination raciale, mentions d'expérimentations scientifiques sur des sujets vivants, violence et meurtre.
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La marée monte
Sujet commun — 30 septembre 838
Les grands de ce monde prennent les décisions à huis clos sans consulter le petit peuple et prétendent prendre des mesures pour les protéger, mais ne se protègent qu’eux-mêmes considérant que ces groupuscules ne menacent personne d’autre qu’eux. Des bagarres éclatent un peu partout dans les rues.
Un homme est excédé parmi la foule. Il se lève, s’élève dans le ciel malgré les interdictions de survoler la ville. Les gardes de la cité s’agitent parce qu’il est trop proche des portes. L’homme hurle alors :
Une troisième intervention pnj aura lieu le
Hybride de la Nuit
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Contents : Abandon, manipulation, esclavagisme caché, mort, blessures graves
Pronom : Elle/She
Âge : 60 ans - Deux passages à la Fontaine de Jouvence pour garder les traits d'une jeune trentenaire.
Race : Hybride - Printanière Nocturne aux ailes brulées
Cour : Apatride - Aucune Cour ne lui correspond
Résidence : Elysium - La Fiole Fleurie
Occupation : Apothicaire improvisée depuis le Fléau- Zéphyr sur Cercle Sud chez les Stormvaengir
Âme sœur : Perdue dans les méandres de son esprit éraflé
Allégeance : Les siens - les Stormvaengir
Peuple
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magie de la nuit
Stormvaengir
liberté aux ailés
Âme sœur
j'ai trouvé ma moitié
Multicompte
j'me suis dédoublé·e
la marée monte
Event | 30 septembre 838
Elle gronde, la colère,
Elle monte, la pression,
De l’électricité dans l’air,
Et le sang coule à foison
Elle monte, la pression,
De l’électricité dans l’air,
Et le sang coule à foison
Solaris soupire, constate, et accepte volontiers, en souriant comme une gamine, la meringue tendue par un Ares qui ressent clairement le besoin de se défouler.
“
Jusqu’à l’impact.
Un insurgé s’envole, hurle les vérités qui empoisonnent le coeur du peuple, puis, se fait abattre en plein discours, comme une menace , subjuguant la foule qui ne demande qu’à exploser. Inévitable bien que choquant...
“
Le regard flamboyant, l’ancienne Danseuse aux ailes brûlées a l’impression qu’elle peut toucher son rêve du bout des doigts… À savoir, obtenir vengeance auprès de deux personnes qui se trouvent derrière les portes… Un certain Fae du Printemps et une Fae de la Nuit aux dents longues qui ne méritent que la mort de sa main.
- résumé:
Solaris est avec @Ares Kovács et @Edvin Løvendal quand tout s'embrase à la mort de l'ailé. Elle décide d'aller faire sa langue de vipère assez habilement pour donner de la force à la foule en colère...
_________________
Laueee
Grand·e Fae de l'Automne
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Triggers : [RAS] je peux tout lire.
Contents : [TW] violence, torture, mort.
Pronom : [ELLE]
Âge : [73 ANS] la beauté gardée intacte, pour l'heure épargnée par le temps qui la dispense d'user de la fontaine pour maintenir l'illusion.
Race : [GRANDE FAE] aux oreilles pointues et à la grâce innée.
Cour : [AUTOMNE] pur produit de Mercadal, et ce jusqu'au bout des ongles.
Résidence : [ELYSIUM] là où elle s'épanouit, bien qu'il lui arrive encore d'avoir le mal du pays.
Occupation : [LIEUTENANT] en charge de la cité des braises, qu'elle gère d'une main de maître.
Statut social : [NOBLE] sœur du Suprême de l'Automne, condamnée à en subir tant les privilèges que les responsabilités.
Statut civil : [EN COUPLE] et c'est compliqué. enlisée dans une relation gardée secrète car interdite par le Crépuscule.
Orientation sexuelle : [HÉTÉROSEXUELLE] uniquement attirée par les corps virils qui ont l'audace d'essayer de lui résister.
Âme sœur : [AGHNAR] se déchirant le jour pour mieux se désirer la nuit.
Allégeance : [MONTESERRE] pour toujours et à jamais. malgré les hauts et les bas.
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j'ai survécu à Beltane 836
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la marée monte
tw: Ø | outfit | 30 septembre 838
Elle aimerait être optimiste. Lui glisser que tout va bien se passer. Que ça ne sera que quelques éclats de voix, qu’un tas de vulgaires cafards éméchés et que tout pourra être géré en deux temps trois mouvements. Que comme tous les ans, il y a toujours un groupe de mécontents. Qui beugle, qui grogne, mais qui, au final, finit par se perdre dans le flot de la plèbe plus intéressée par les buffets que par écouter toutes ces revendications inutiles. Mais cette année est différente. Et ils vont très vite en avoir la confirmation.
Les esprits s’échauffent. Trop nombreux pour simplement pouvoir être gérés. Ils sont noyés dans la masse, impossible à extraire. Alors, devant les consignes du Lieutenant de l’Arc d’Argent, Luz opine. Un sifflement aussi aigü que fugace, pour attirer l’attention de ses hommes qui automatiquement répondent à son appel en inclinant leur regard dans sa direction. «Reunión ! vocifère-t-elle d’une voix cinglante, ses orbes durcis par la concentration. » Le rassemblement a lieu en une fraction de secondes, et aussitôt la voilà à disséminer les ordres. S’étendre, créer un mur de boucliers autour des stands, pour ainsi être un rempart efficace entre les personnes se devants d’être évacuées, et les autres. En quelques minutes, et sans un mot de plus, ils se sont étalés pour couvrir un large périmètre, la foule devant et le Palais avec les stands dispersés à droite et à gauche dans leur dos.
La situation est sous contrôle. Malgré les regards hostiles tendus dans leurs directions. Ils sont mécontents, et méfiants, du petit tour de force qui s’opère, mais la grogne ne va pas plus loin que quelques insultes –les plastrons et armes réussissant pour l’heure à les dissuader de simplement leur rentrer dans le lard–. La situation est tendue, à fleur de peau. Pour l’heure bridée, mais pouvant basculer à tout instant.
Et cet instant, justement, finit par arriver. Quand un Illyrien s’élève à quelques mètres du sol pour vociférer des âneries plus grosses que lui. Il est en train de monter toute la foule contre le Palais, et vu la situation déjà précaire… Ils n’ont pas besoin de ça. «Que quelqu’un le fasse descendre ! » Le nouvel ordre est lancé à qui veut bien l’entendre, dirigé, surtout aux membres de son escouade. Un de ses soldats acquiesce gravement, déployant ses ailes afin de prendre son envol pour… Être arrêté net dans son élan au moment où le dissident est frappé en plein vol et qu’il tombe au sol. Pas la peine d’être médecin pour deviner qu’il est mort. « PUTAIN ! » Parce qu’elle en est persuadée, vu l’axe de tir, ça ne vient de ses hommes. Mais qui alors ? Un de ceux d’Aedan ? Ou alors d’une escouade postée un peu plus loin ? À moins que ce ne soit justement un piège de le faire croire avec comme objectif d’amplifier l’agitation ambiante déjà trop présente –car quel garde serait assez idiot pour le tuer aussi froidement devant tout le monde, sans déconner– ?
Luz grince des dents, dégainant sans plus attendre son épée. Elle est imitée par le reste de son escouade, au même moment où un mouvement de foule s’opère dans leur direction –quoi que surtout vers le portail non loin d’elle–. Sans qu'elle n'ait besoin de le clarifier, ils se regroupent pour restreindre la ligne et la condenser le plus possible au niveau du portail, rejoignant l’escouade d’Aedan et celle déjà présente pour protéger l’entrée du Palais. «Il faut créer une barricade pour essayer de les retenir, Elle alterne son regard entre Aedan et ses hommes, Allez me chercher les tables des stands, on va les enflammer derrière nous ! » Ils savent tous qu’aux vues de la masse grouillante devant eux, et leur effectif réduit, ils ne seront pas de taille pour lutter. Mais à défaut de vaincre, peut-être réussiront-ils à gagner quelques précieuses minutes avant que des renforts arrivent.
Les esprits s’échauffent. Trop nombreux pour simplement pouvoir être gérés. Ils sont noyés dans la masse, impossible à extraire. Alors, devant les consignes du Lieutenant de l’Arc d’Argent, Luz opine. Un sifflement aussi aigü que fugace, pour attirer l’attention de ses hommes qui automatiquement répondent à son appel en inclinant leur regard dans sa direction. «
La situation est sous contrôle. Malgré les regards hostiles tendus dans leurs directions. Ils sont mécontents, et méfiants, du petit tour de force qui s’opère, mais la grogne ne va pas plus loin que quelques insultes –les plastrons et armes réussissant pour l’heure à les dissuader de simplement leur rentrer dans le lard–. La situation est tendue, à fleur de peau. Pour l’heure bridée, mais pouvant basculer à tout instant.
Et cet instant, justement, finit par arriver. Quand un Illyrien s’élève à quelques mètres du sol pour vociférer des âneries plus grosses que lui. Il est en train de monter toute la foule contre le Palais, et vu la situation déjà précaire… Ils n’ont pas besoin de ça. «
Luz grince des dents, dégainant sans plus attendre son épée. Elle est imitée par le reste de son escouade, au même moment où un mouvement de foule s’opère dans leur direction –quoi que surtout vers le portail non loin d’elle–. Sans qu'elle n'ait besoin de le clarifier, ils se regroupent pour restreindre la ligne et la condenser le plus possible au niveau du portail, rejoignant l’escouade d’Aedan et celle déjà présente pour protéger l’entrée du Palais. «
- résumé:
- Pour tenter de protéger les plus vulnérables, ils ont fait une ligne de protection avec devant eux les pas-contents, et derrière eux les stands qui sont à droite/gauche du portail du Palais.
- Quand ça pète, les soldats réduisent la ligne pour faire un mur de boucliers entre quelques stands juste à côté du portail et surtout le portail.
- Luz ordonne que certains de ses hommes se détachent pour aller chercher des tables des stands à côté avec comme objectif de créer une barricade qu'elle compte bien enflammer pour ralentir les pas-contents-du-tout-du-tout.
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