[INTRIGUE] Bal des Marées
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Lazar Kozlov
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Hybride de la Nuit
Pseudo : Lev
Pronoms irl : Elle
Faceclaim : Theo James - aeternitas.
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Triggers : Aucun. Je peux lire, mais ne joue aucune violence sexuelle.
Contents : Violence, sexe, injures etc (Je discute de tout en amont, don't worry be happy)
Pronom : Il
Âge : 59 ans
Race : Hybrid - Fils de Tomas Volyn (Fae) & Meira (Illyrienne)
Cour : Cour de la nuit
Résidence : Navigue entre Velaris & Elysium
Occupation : Ingénieur pour la nouvelle voie ferrée. Il est également Maitre chez les Chevaucheurs de Brumes.
Statut civil : Sous le charme redoutable d'Hestia Kozlov. Les deux anciens amants se donnent une nouvelle chance après 1 an de séparation.
Orientation sexuelle : Les courbes féminines attirent ses yeux. Enfin, jusqu'à présent..
Âme sœur : Despina Ghafa, vous entendez la destinée qui rigole fort ?
Allégeance : Sa famille passe avant tout. Il est loyal à la Cour de la Nuit & aux Chevaucheurs.
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fidèle à la cour de la nuit
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Chevaucheur
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Le Bal des Marées
30 septembre 838 - Rp commun
Cette soirée s'annonce encore plus difficile que prévu. Nerveux, Delyan glisse sa main dans ses cheveux pour tenter de se détourner du regard Ghafa qui le transperce. Sa voix, pire encore. Une seule phrase le paralyse et le projette brutalement dans les souvenirs d’une soirée partagée. Rester là est trop dangereux, plus encore maintenant que son attention est attirée par une divine créature de la nuit. Plus que jamais, Delyan se sent pris au piège dans une quantité folle de secrets qui pèsent lourds sur ses épaules. Dana est à sa place, se fond dans le décor de la Haute Noblesse d’Evanor pendant que lui, il coule. Lentement, mais surement, accablé par la beauté d’une femme, le charme d’un suprême qui enflamme sa jalousie autant que son interêt et maintenant quoi ? Une grande Fae hautaine et prétentieuse qu’il regarde furtivement et vice versa, sans la moindre raison. Dans cette salle, sa propre soeur devient une menace, car la Volyn le connaît trop bien et est capable de déceler le moindre signe de nervosité en lui. Qu’aurait-il à dire pour sa défense au juste ? J’ai passé la soirée avec Ehsan Ghafa car tu n’étais pas là (coupable!) et je n’ai rien dit à ma femme ? J’ai la nausée à me foutre du vomis plein les pieds sans avoir bu une goutte à cause d’une autre Ghafa ? Non, vraiment, il devait prendre sur lui. Juste une soirée. Une toute petite, très très.. longue soirée.
Hestia avait reculé d’un pas lorsqu’il s’était approché et s'il n'a pas jugé utile d’en faire un drame à l’instant T, cette soudaine répulsion l’a surpris, plus qu’il ne veut l’admettre. Une chance qu’elle soit divine et désirable et que la vue qui s’offre à lui soit assez enivrante pour lui fermer le clapet un instant. Son comportement des dernières semaines a formé un fossé entre eux qu’il compte bien reboucher rapidement. Une toute petite marche à enjamber, ça n’est rien en comparaison de l’année complète de séparation qu’ils se sont infligés, non ?« Comment ça encore ?! Tu sais bien que ma sœur exagère toujours tout. » Son sourire s’étire en coin et ses lèvres mordent la chair de ses lèvres. Il sait qu’elle le regarde, elle sait qu’il ment. C’est ainsi que fonctionnent les choses entre eux. Un couple de la nuit fort bien assorti dans les faits, tout pourrait être si facile. Rien ne l’est. L’alchimie est pourtant bien présente et le désir crépite si fort dans ses veines qu’il croit pouvoir l’entendre.
Tout pouvait être pire, la preuve. La cousine d’un tel, soeur de l’ami d’un autre, bref, celle qu’on lui a présentée comme étant @Despina Ghafa ne mérite pas son attention. Alors pourquoi !? Pourquoi s’est-il acharné à lui parler pour ruminer ensuite ? L’hybride sourit poliment pour ne pas faire de vague en public et lève les yeux au ciel une fois la dame envolée plus loin. Zou, oiseau de mauvais augure.« Ça tombe bien, moi non plus. » L’ingénieur n’est pas du genre à juger les gens avec tant d'aplomb, il réserve souvent ses opinions pour lui-même ou pour des conversations privées, mais celle-là, il n’a pas envie de la recroiser de si tôt.« Elle n’est pas originaire du jour. Quel est son nom, que je sache à l’avenir où ne pas mettre un pied ? »
Son regard se tourne sur sa @Dana Volyn et le grand frère lui adresse un sourire délicat. La période est difficile et derrière les sourires Volyn se cachent encore des larmes, mais ils sont là, alors autant tenter de profiter.« Comment te sens-tu ? »
Hestia l’interpelle. Déjà ? La trêve doit-elle vraiment se terminer si vite ? La demoiselle Kozlov lui en veut pour son absence, mais elle pourrait être folle pour bien d’autres choses.« Je pensais que tu tiendrais plus longtemps. » Il provoque, se délecte de sa moue boudeuse qu’il chérit tant.« Je n’y arrivais pas Hestia. J’ai essayé, sincèrement. » Sa solitude pour meilleure amie, l’hybride s’était sciemment coupé du monde entier. D’elle, mais également de sa cadette, de ses amis, de ses collègues à Elysium, même de sa grotte.« Essaye de me pardonner pour ce soir, nous en reparlerons, c’est promis. » Pas encore. Il n’est toujours pas prêt. Delyan fait son possible pour remonter la pente, mais il trébuche sans cesse vers le bas au moindre souvenir de Neven« Dana m’a forcé, elle est tyrannique. »
Alors qu’il s’apprête à rire de bon coeur, les doigts de sa cavalière se pressent à son bras, l’incitant inconsciemment à chercher le danger. Protecteur ou trop con, à peine tourne-t-il le visage sur sa droite qu’il aperçoit le suprême du jour en belle compagnie. Son cœur se serre, sa jalousie gronde et il se fige, regarde @Ehsan Ghafa quelques secondes, le coeur en chute libre, avant de poser sa main sur celles de la Kozlov. A ses oreilles, il murmure« Tu danses ? Juste toi et moi. » Delyan s'écarte de Dana pour lui épargner le spectacle de quelques murmures complices.
N’ont-ils pas mérité une parenthèse juste pour eux ? Mérités de fouler la piste de danse d’une salle dans laquelle ils n’ont tous les deux rien à faire ? Pas de titre à défendre, ni de sourires à rendre. Mérités de briller, à leur manière ? Parce qu’ensemble, ils sont divinement beaux et qu’il est temps qu’elle s’en rende compte. Ou simplement parce que leurs regards se perdent un peu trop et qu’ils peuvent combler ça ensemble. Face à elle, plus grand, il capte ses prunelles sombres ou dansent déjà une ribambelle d’ombres sans lui pour s’y ancrer, déterminé, passionné.« Tu m’as manqué Hestia. »
Résumé : Delyan rejoint @Dana Volyn , s'insurge de l'attitude désagréable de @Despina Ghafa . Perd pied en sentant sa cavalière tendue. Il invite @Hestia Kozlov à danser.
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Grand·e Fae de l'Aube
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Âge : [99 ANS] - un siècle qu'elle parcours Evanor, un siècle et tant de choses à apprendre, tant de découvertes sordides.
Race : De grande-taille, silhouette fine et élancée, gracieuse et délicate, aux oreilles pointues [GRANDE-FAE]
Cour : [AUBE], dans le cœur et dans l’esprit
Résidence : [MIRHGLIN], au centre du Palais de Verre
Occupation : [SUPRÊME DE L'AUBE]
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Statut civil : [CELIBATAIRE]
Orientation sexuelle : [HETEROSEXUELLE] - attirée par les corps masculins, rebutée par l'idée d'une nouvelle déception
Âme sœur : [NONE] - la mère lui a déjà donné la lourde tâche de guider la Cour de l'Aube
Allégeance : [L'AUBE]; [ELLE-MÊME]; [LES DUGU]
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Bal des Marées
Sujet commun | 30 septembre 838 | outfit
Il y avait une lueur particulière dans les prunelles duSeigneur . Une légèreté, peut-être ? Une malice qu'elle retrouvait dans ses mots. Était-ce la présence de sa sœur, qui changeaitYukito de la sorte ? L’envie de poser la question était présente, vibrante d’une curiosité que Wanyin s’efforça de repousser. Tout un chacun se devait d’avoir son petit jardin secret, et tant que celui là ne menaçait pas l’ordre établis, ni la cour de l’Aube, alors la Suprême ne pouvait que se trouver ravie de voir sonSeigneur dans un si bel état d’esprit. Tout comme Wanyin se réjouissait de la nouvelle apportée parHase . Des fiançailles, liant plus encore l’Aube et le Printemps. Un lien qui, à en voir le regard dévorant d’amour de la jeuneAtalante était porté sur bien plus qu’une simple alliance politique. Après les évènements du mois d’août, il était doux de les voir heureux.
Les orbes de Wanyin retrouvèrent le visage quelque peu détendu de son partenaire de danse, avant de lui adresser un léger sourire. « Ne vous en faîtes pas, cela ne s’oublie pas, assura-t-elle, et puis, au pire des cas, laissez-vous guider. » Parce qu’elle, elle savait danser. Danser était une seconde nature, une façon de vivre. L’artiste se réjouissait, de ces quelques pas, de cette distraction face à la nouvelle qui tomberait plus tard dans la soirée. Elle n’aurait plus l’occasion de danser, si elle devenait Régente. Elle ne serait plus chez elle, à Mirhglin. Sa vie n’appartiendrait plus qu’à l’Aube seulement, mais à tout Evanor. Si le sacrifice de son existence pour sa cour était accepté, l’idée de devoir donner plus encore, était douloureux. Cela sonnait comme un glas, comme un point duquel elle ne pourrait revenir.
La Suprême put compter sur le regard amusé deYukito mais plus encore sur ces paroles. Il rapportait avec une joie non dissimulée, les allégations de sa cadette, ce qui tira un « o » surpris de la part de la Dugu, et un rire franc et léger lorsqu’il eut terminé. Il la fit tourner et Wanyin l’observa un instant. « Et cela semble vous amuser ! » s’exclama-t-elle, pas le moins du monde outré par la situation. A l’évidence, elle était plus amusée qu’autre chose. Les gens se permettaient à tord et à travers de s’imaginer des choses, celle-là, au moins, n’avait pas énormément de conséquence. « Vous pouvez la faire tourner encore un peu plus en rond, si vous le souhaitez, mais ne lui dite pas que je déteins sur vous ou elle finira par ne plus vous croire le jour où vous lui direz la vérité. » s’amusa-t-elle. Cela dit, Himari était surement sur une piste. Après tout, Wanyin ne s’imaginait pas être la cause de cette bonne humeur visible et transmissible. « Quoiqu’il en soit, votre sœur tiens tout de même une sacrée idée et si nous savons très bien tout les deux qu’il ne s’agit pas de moi, de qui d’autre ? » Un air mutin s’était emparé du visage de la Suprême. « Ne vous cachez pas, Yukito, vous êtes d’une trop belle humeur pour que je me retienne d’être curieuse. » souffla-t-elle, alors que son esprit, à elle vagabondait plus loin, vers d’autres orbes. Sombres. Indéchiffrables.Résumé - Wanyin est ravie de la distraction, et taquine @Fujihara Yukito sur sa bonne humeur avant de penser à @Malakaï Eriksen et mention aussi des tout mignons @Liao Hase et @Atalante de Péone
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Grand·e Fae de la Nuit
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Triggers : écrire des relations physique développées inrp
Contents : dépression, angoisse, solitude, démence, meurtre, brûlures
Pronom : | ELLE | ne s'est jamais questionnée quant à son genre
Âge : |42 ANS | fille de la nuit, née en janvier de l'année 796
Race : | GRANDE FAE | dont les traits resteront à jamais juvéniles
Cour : | COUR DE LA NUIT | petite ombre derrière les ombres, elle y est à sa place
Résidence : | VELARIS | sa maison (qu'elle a brûlée) et son coeur s'y trouvent
Occupation : | NEGOCIANTE EN ART | pour le compte de l'entreprise familiale | ARS LONGA | Emeraude et négociante de la guilde
Statut social : | PEUPLE | la plèbe qui rêve de mieux
Statut civil : | EN COUPLE | compagne de Delyan Volyn
Orientation sexuelle : | BI | elle ne fait pas de distinction sur les corps tant qu'ils s'accordent dans son lit
Âme sœur : | SANS INTERET | quelqu'un l'attends peut-être. Qu'il l'attende alors, Hestia aime se faire désirer.
Allégeance : | SES INTERETS | les promesses ne signifient rien, toute situation sera tournée en sa faveur.
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Bal des Marées
Sujet commun — 30 septembre 838 - outfit
«
En l’entendant prétendre que Dana était tyrannique, Hestia s’était mise à sourire. Oh, la petite Volyn avait de la ressource, à n’en point douter. Elle avait une force inouïe, une force qu’Hestia lui enviait parfois, car incapable de trouver en elle-même ne serait-ce qu’un écho du courage de Dana. Finalement, ses yeux s’étaient baissés lorsqu’elle avait achevé de lui reprocher son absence. Elle se montrait injuste, égoïste, elle le savait. Mais sa fierté en avait pris un coup, et elle s’était sentie abandonnée. Delyan venait de perdre son frère, bien sûr qu’il avait eut besoin de se retrouver seul. De se recentrer. Peut-être avait-elle espérer avoir un rôle à jouer dans cette partie de son deuil? Elle avait essayé de se convaincre de cette idée, mais la vérité était tout autre. La vérité était simple : elle avait besoin de quelqu’un pour se sentir exister. Si durant des années, elle se s’était sentie vivante qu’aux côtés de son frère aîné, aujourd’hui la situation était différente. Lazar l’avait abandonnée à de nombreuses reprises mais au-delà de ces maux indélébiles : elle s’était sentie trahie. Alors, d’une façon malsaine, sûrement, elle avait trouvé la force de s’émanciper de lui. Cela faisait des mois qu’elle naviguait en eaux troubles, des mois qu’elle bataillait, qu’elle cherchait un port où s’arrêter, un endroit où se reposer. Et elle avait croisé Ehsan. Par trois fois, à présent, cette année. Ehsan qui avait le don de l’apaiser. À croire qu’il parvenait à lui faire oublier ses problèmes rien que par le fait d’exister. Puis Delyan lui était revenu. Miracle impossible, pourtant bien réel. Delyan qu’elle avait chéri durant des années, Delyan qu’elle avait repoussé de peur de trop s’attacher, alors que l’accroche était déjà là, qu’elle s’était fourvoyée tout ce temps là. Delyan qu’elle avait brisé, mais qui à présent lui avait rouvert les bras.
«
- résumé:
- Et c'est le retour d'une Hestia un peu cute
Elle décide de taire de nom de famille de @Despina Ghafa pour l'instant
Elle maudit mentalement @Eros Wintell
Elle est en proie à de nombreux doutes
Elle enlace @Delyan Volyn et l'embrasse timidement
Accepte de danser avec lui... sauf qu'elle ne sait pas danser
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Grand·e Fae du Printemps
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Pronom : Elle
Âge : 90 ans
Race : Grande Fae
Cour : Printemps, bien qu'élevée à la cour de l'Hiver
Résidence : Elysium, principalement, Mairil quand il lui faut s'y rendre, la petite demeure familiale dans les contreforts près de Lumren.
Occupation : Ministre du Printemps
Statut social : Ancienne roturière, bâtarde, anoblie il y a plus de vingt ans. Baronne, et parvenue aux yeux de bon nombre de ses pairs. Ministre fréquentant la fine fleur de l'aristocratie depuis plusieurs décennies.
Statut civil : Officiellement célibataire, se considérant comme veuve, portant le deuil d'une compagne aimée pendant de longues décennies mais vouée au Crépuscule.
Orientation sexuelle : Lesbienne
Âme sœur : Inconnue - et sans intérêt, car elle ne pourra jamais lui offrir aucune affection autre que platonique.
Allégeance : Elle-même, la Cour du Printemps.
Bal des Marées
Sujet commun - OUTFIT
« Il est vrai que nous ne chômons pas … Mais l’avons-nous jamais fait ? »
Il y avait, dans les yeux de Mahaut, une once de malice, pour une fois, alliée à un sérieux qui demeurait, car en vérité, si l’on disait les faes du Printemps travailleurs, il était difficile de trouver plus ardents à la tâche que le Suprême actuel et sa Ministre. En cela, les deux faes se complétaient aisément, et se comprenaient, n’aimant rien de moins que de demeurer dans le secret de leurs bureaux pour faire, encore faire, refaire, parfois défaire ce qui avait été accompli avec une régularité de métronome. La baronne avait toujours aimé être active, réfléchir, travailler. Elle le faisait depuis son arrivée dans cette Cour qui n’était pas celle de sa naissance, et n’avait jamais cessé depuis. L’oisiveté lui faisait horreur. Pire : elle l’angoissait, d’une manière quasiment existentielle. Alors, en dépit de la charge plus que conséquente qui était la sienne, rehaussée au cours des dernières semaines, elle abordait ce rituel de régence avec un calme olympien, tout simplement parce que, quel que soit le résultat, elle y était prête, et ne doutait guère. Si une autre Cour régente était choisie, elle continuerait à servir au mieux. Si le Printemps était désigné … elle savait ce qu’elle aurait à faire. Et il n’y aurait pas de surprise, elle avait accompagné Gédéon Beauchamp en de tels moments. Sa longue expérience, elle le réalisait, se révélait précieuse, en de tels instants.
« Quoi qu’il advienne, j’ai toute confiance dans la capacité de la Mère à nous guider … et en la nôtre, de faire ce qui s’impose. »
Davantage dans la leur, en vérité, mais les formules religieuses avaient le grand avantage de permettre de dire ce qui était nécessaire en passant par des politesses moins directes. L’essentiel, néanmoins, son interlocuteur saurait le percevoir. La salle se remplissait peu à peu, de nombreuses têtes que Mahaut salua de loin. Son œil fut attiré quelques instants par le regard appuyé de Lou Wintell sur sa canne. Incapable de résister, la Ministre fit tourner légèrement le pommeau de ladite canne dans sa main, en un geste élégant, avec un sourire discret. Puis elle continua à faire le tour des têtes printanières connues, aquiesçant aux paroles de son Suprême. En effet, leur Cour était on ne peut plus représentée. Hormis les Beauchamp, qu’elle n’avait pour le moment pas aperçu, les familles seigneuriales étaient présentes, et en nombre. Dont les de Péone, bien accompagnés. Ce que souligna Ambroise. Là encore, Mahaut hocha la tête en guise d’assentiment, avant d’ajouter :
« Elles sont douces à voir. Je suis heureuse qu’Atalante de Péone et Liao Hase se soient trouvés. Ce sont deux personnes qui s’accorderont fort bien.
Et j’espère que votre cousine et son futur fiancé parviendront aussi à trouver le rythme de la danse qui leur conviendra. »
Même si, eu égard aux bruits concernant les deux frères de Péone, elle se disait qu’il s’agirait sans doute d’une valse printanière fort platonique plutôt que d’une salsa automnale à la sensualité débordante. En parlant du loup … enfin, de la rose. Circé Valois et son cavalier venaient de faire leur entrée, se dirigeant vers la petite troupe de printaniers mêlés de diurnes. Néanmoins, tandis qu’elle observait l’ensemble d’un œil lointain, répondant là encore aux saluts, elle ne put s’empêcher de s’attarder un rien sur le mouvement de la cousine du Suprême, prenant à part son homologue diurne. Avec, manifestement, un rien de fougue.
« Il semblerait que certaines présentations s’animent après leur entrée. »
Un brin de curiosité s’empara d’elle. L’arrivée peu de temps après, néanmoins, d’un invité quelque peu inhabituel, en de tels lieux, la tira de ses observations. Un illyrien aux ailes déployées et qui, à moins qu’elle ne se méprenne, ne portait pas les traits du seul noble de ce peuple connu, à savoir le baron Odegaard, s’avançait. Et la chose ne pouvait manquer de faire parler.
« Et que certaines entrées animent les conversations. »
Evidence. Au moins, cela permettait justement de ne pas trop s’attarder sur les présentations. En de tels événements, il était parfois pratique que l’attention se déplace ailleurs. Néanmoins, le Suprême du Jour avait fini par s’extirper de son groupe et venait les rejoindre. Il les salua, et Mahaut attendit que son propre Suprême réponde – question de préséance – pour se joindre à son tour à la conversation :
« Je vous retourne le compliment, Votre Suprématie Diurne. »
Il baissa le ton, adressant ses excuses à Ambroise. Mahaut haussa un sourcil un rien interrogateur. Qu’était-ce encore que cela ? Avant de … Son regard se posa sur Circé. Puis Rosalie. Et elle se mordit la lèvre. Bon. Elle laissa le printanier répondre, puis, pour alléger la conversation, rendit son sourire au diurne :
« A merveille, nous avons une vue imprenable sur toutes les petites péripéties de tels événements, ici. »
Son regard pétilla :
« Je suis sûre que nous trouverons à vous abriter par ici, en sus, le buffet est proche. »
Argument imbattable. Elle se décala d’ailleurs d’un pas, pour faire mine de l’observer, laissant les deux Suprêmes murmurer entre eux sur le rituel, proche sans être intrusive.
Il y avait, dans les yeux de Mahaut, une once de malice, pour une fois, alliée à un sérieux qui demeurait, car en vérité, si l’on disait les faes du Printemps travailleurs, il était difficile de trouver plus ardents à la tâche que le Suprême actuel et sa Ministre. En cela, les deux faes se complétaient aisément, et se comprenaient, n’aimant rien de moins que de demeurer dans le secret de leurs bureaux pour faire, encore faire, refaire, parfois défaire ce qui avait été accompli avec une régularité de métronome. La baronne avait toujours aimé être active, réfléchir, travailler. Elle le faisait depuis son arrivée dans cette Cour qui n’était pas celle de sa naissance, et n’avait jamais cessé depuis. L’oisiveté lui faisait horreur. Pire : elle l’angoissait, d’une manière quasiment existentielle. Alors, en dépit de la charge plus que conséquente qui était la sienne, rehaussée au cours des dernières semaines, elle abordait ce rituel de régence avec un calme olympien, tout simplement parce que, quel que soit le résultat, elle y était prête, et ne doutait guère. Si une autre Cour régente était choisie, elle continuerait à servir au mieux. Si le Printemps était désigné … elle savait ce qu’elle aurait à faire. Et il n’y aurait pas de surprise, elle avait accompagné Gédéon Beauchamp en de tels moments. Sa longue expérience, elle le réalisait, se révélait précieuse, en de tels instants.
« Quoi qu’il advienne, j’ai toute confiance dans la capacité de la Mère à nous guider … et en la nôtre, de faire ce qui s’impose. »
Davantage dans la leur, en vérité, mais les formules religieuses avaient le grand avantage de permettre de dire ce qui était nécessaire en passant par des politesses moins directes. L’essentiel, néanmoins, son interlocuteur saurait le percevoir. La salle se remplissait peu à peu, de nombreuses têtes que Mahaut salua de loin. Son œil fut attiré quelques instants par le regard appuyé de Lou Wintell sur sa canne. Incapable de résister, la Ministre fit tourner légèrement le pommeau de ladite canne dans sa main, en un geste élégant, avec un sourire discret. Puis elle continua à faire le tour des têtes printanières connues, aquiesçant aux paroles de son Suprême. En effet, leur Cour était on ne peut plus représentée. Hormis les Beauchamp, qu’elle n’avait pour le moment pas aperçu, les familles seigneuriales étaient présentes, et en nombre. Dont les de Péone, bien accompagnés. Ce que souligna Ambroise. Là encore, Mahaut hocha la tête en guise d’assentiment, avant d’ajouter :
« Elles sont douces à voir. Je suis heureuse qu’Atalante de Péone et Liao Hase se soient trouvés. Ce sont deux personnes qui s’accorderont fort bien.
Et j’espère que votre cousine et son futur fiancé parviendront aussi à trouver le rythme de la danse qui leur conviendra. »
Même si, eu égard aux bruits concernant les deux frères de Péone, elle se disait qu’il s’agirait sans doute d’une valse printanière fort platonique plutôt que d’une salsa automnale à la sensualité débordante. En parlant du loup … enfin, de la rose. Circé Valois et son cavalier venaient de faire leur entrée, se dirigeant vers la petite troupe de printaniers mêlés de diurnes. Néanmoins, tandis qu’elle observait l’ensemble d’un œil lointain, répondant là encore aux saluts, elle ne put s’empêcher de s’attarder un rien sur le mouvement de la cousine du Suprême, prenant à part son homologue diurne. Avec, manifestement, un rien de fougue.
« Il semblerait que certaines présentations s’animent après leur entrée. »
Un brin de curiosité s’empara d’elle. L’arrivée peu de temps après, néanmoins, d’un invité quelque peu inhabituel, en de tels lieux, la tira de ses observations. Un illyrien aux ailes déployées et qui, à moins qu’elle ne se méprenne, ne portait pas les traits du seul noble de ce peuple connu, à savoir le baron Odegaard, s’avançait. Et la chose ne pouvait manquer de faire parler.
« Et que certaines entrées animent les conversations. »
Evidence. Au moins, cela permettait justement de ne pas trop s’attarder sur les présentations. En de tels événements, il était parfois pratique que l’attention se déplace ailleurs. Néanmoins, le Suprême du Jour avait fini par s’extirper de son groupe et venait les rejoindre. Il les salua, et Mahaut attendit que son propre Suprême réponde – question de préséance – pour se joindre à son tour à la conversation :
« Je vous retourne le compliment, Votre Suprématie Diurne. »
Il baissa le ton, adressant ses excuses à Ambroise. Mahaut haussa un sourcil un rien interrogateur. Qu’était-ce encore que cela ? Avant de … Son regard se posa sur Circé. Puis Rosalie. Et elle se mordit la lèvre. Bon. Elle laissa le printanier répondre, puis, pour alléger la conversation, rendit son sourire au diurne :
« A merveille, nous avons une vue imprenable sur toutes les petites péripéties de tels événements, ici. »
Son regard pétilla :
« Je suis sûre que nous trouverons à vous abriter par ici, en sus, le buffet est proche. »
Argument imbattable. Elle se décala d’ailleurs d’un pas, pour faire mine de l’observer, laissant les deux Suprêmes murmurer entre eux sur le rituel, proche sans être intrusive.
- Résumé:
- - Mahaut papote avec @Ambroise Valois, en disant tout le bien qu'elle pense de l'union annoncée de @Atalante de Péone et @Liao Hase, en souhaitant que @Circé Valois et @Ulysse de Péone s'accordent aussi aisément que possible compte tenu des rumeurs concernant l'homosexualité d'Ulysse.
- Elle joue avec sa canne pour @Lou Wintell.
- Elle observe le remue-ménage autour de @Circé Valois et @"Ehsan Ghafa."
- Elle commente l'entrée remarquée de @Asmodaï Aràny.
- Elle papote avec @Ehsan Ghafaet lui tend du popcorn, puis se décale très légèrement pour continuer à participer à la conversation tout en laissant la possibilité pour @Ambroise Valois et @Ehsan Ghafa d'échanger à voix basse entre eux..
Grand·e Fae du Printemps
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Comptes : Eris Lynch & Aerin Braegen.
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Triggers : À discuter.
Contents : Assassinat, proxénétisme.
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Âge : 82 ans.
Race : Grand-Fae.
Cour : Printemps.
Résidence : Aurëdant, le manoir familiale des Wintell.
Occupation : Trésorière de la famille et du Floraison Nocturne, elle sert aussi de Tailleuse pour la noblesse de ce monde. Entre autre chose.
Statut social : Noblesse moqueuse, famille seigneuriale qui peine à se remettre. Noblesse qui aiguise ses crocs.
Statut civil : Fiancée dans une autre vie, aujourd'hui célibataire à la recherche d'une parfaite alliance.
Orientation sexuelle : Indéterminée et peu désireuse de rechercher un titre à ce propos.
Âme sœur : Cesare Monteserre.
Allégeance : Les siens.
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Bal des marées
Un sourire sincère se dessine sur ses lèvres, quand son regard croise la silhouette de sa sœur. Ou demi-sœur pour les pointilleux de ce monde. Mais, la foule l’empêche de simplement la rejoindre. Au contraire, elle se laisse emporter par son cavalier sur la piste de danse. S’excusant auprès de ceux qui leur tenaient compagnie, lorgnant de nouveau sur la canne de la ministre, que celle-ci agite entre ses doigts, comme pour attirer son attention. L’accessoire faisant naître une certaine envie chez la rousse. Elle se détourne de tout ce monde pour autant. Se concentrant sur Achille, sans lui faire remarquer qu’il a choisi l’endroit le plus éloigné de sa sœur pour danser. Devant les paroles que lui offre le seigneur, elle ne peut s’empêcher de laisser fleurir un sourire tendre. Des images de sa jeunesse lui revenant en mémoire. Quand tous lisaient sur son visage et la laissaient papillonner avec naïveté sur les pistes de danse. Antonin Valois à son bras, un bref instant même. Terriblement bref.
Ses doigts viennent cueillir son menton et insister jusqu’à ce qu’il croise de nouveau son regard. « Le changement est déstabilisant, oui. Mais, cherchez à l’arrêter peu parfois… Modifier à jamais ce qui était. » Son œil cherche son frère du regard, ses fiançailles imposées et les décisions prises pour elle lui revenant en mémoire. « Je vous conseille un peu de flexibilité face à ce qui vous distrait. Ça vous évitera bien des surprises désagréables. » Elle se rapproche pour guider ses mains sur son corps, lui donner une meilleure prise, sans démontrer de manière flagrante qu’elle guide temporairement l’homme. Sa robe vole autour de ses jambes, alors qu’ils pivotent lentement. « Ne regardez plus mes pieds, Achille. Même si vous n’êtes pas à l’aise, ne laissez personne ici le voir. Et la première défense lors d’un bal, c’est votre regard. »
Un frisson remonte le long de sa colonne, elle se raidit un instant, tournant quelque peu la tête vers le couple de nouveaux arrivants. Cesare ne pouvant qu’attirer son attention. Mais la Wintell ne peut se permettre de déconvenue, elle ravale sa réaction à sa présence, pour mieux se concentrer sur le printanier. « Si nous continuons ainsi, nous manquerons toutes les péripéties de la soirée… J’aperçois des ailes au loin, ça risque de créer quelques tensions. » Elle se pince les lèvres pour ne pas dire crûment qu’elle n’a pas repris l’habitude de cette vie. Parce qu’il ne sait pas et ne saura sans doute jamais.
La robe.
Ses doigts viennent cueillir son menton et insister jusqu’à ce qu’il croise de nouveau son regard. « Le changement est déstabilisant, oui. Mais, cherchez à l’arrêter peu parfois… Modifier à jamais ce qui était. » Son œil cherche son frère du regard, ses fiançailles imposées et les décisions prises pour elle lui revenant en mémoire. « Je vous conseille un peu de flexibilité face à ce qui vous distrait. Ça vous évitera bien des surprises désagréables. » Elle se rapproche pour guider ses mains sur son corps, lui donner une meilleure prise, sans démontrer de manière flagrante qu’elle guide temporairement l’homme. Sa robe vole autour de ses jambes, alors qu’ils pivotent lentement. « Ne regardez plus mes pieds, Achille. Même si vous n’êtes pas à l’aise, ne laissez personne ici le voir. Et la première défense lors d’un bal, c’est votre regard. »
Un frisson remonte le long de sa colonne, elle se raidit un instant, tournant quelque peu la tête vers le couple de nouveaux arrivants. Cesare ne pouvant qu’attirer son attention. Mais la Wintell ne peut se permettre de déconvenue, elle ravale sa réaction à sa présence, pour mieux se concentrer sur le printanier. « Si nous continuons ainsi, nous manquerons toutes les péripéties de la soirée… J’aperçois des ailes au loin, ça risque de créer quelques tensions. » Elle se pince les lèvres pour ne pas dire crûment qu’elle n’a pas repris l’habitude de cette vie. Parce qu’il ne sait pas et ne saura sans doute jamais.
La robe.
30 septembre 838 avec @Achille de Péone∙ code par alcara
- résumé:
- Louise danse avec @Achille de Péone , tout en remarquant au loin @Zoya Sojka et @Cesare Monteserre . Un dernier coup d'oeil à la canne de @Mahaut de Boissieux (j'arrête mon obsession promis).
Grand·e Fae de la Nuit
Pseudo : Lunar
Pronoms irl : Amélie
Faceclaim : Barbara Palvin, dark dreams, bambi eyes, ethereal.
Comptes : Dana Volyn, Suni Sha'Hwang, Atalante de Péone, Romeo Cagliesi
Messages : 64
Aeskells : 473
Triggers : n/a
Contents : paranoïa, assassinat
Pronom : Assya
Âge : 69 ans.
Race : Grand-Fae.
Cour : Cour de la Nuit.
Résidence : La Maison du Vent.
Occupation : Suprême de la Nuit.
Statut social : Noble.
Statut civil : Fiancée, à Asmodaï Aràny ; un Illyrien, chef de clan, qui a le don de la mettre dans tous ses états.
Âme sœur : Liao Hase (non reconnue).
Allégeance : La Cour de la Nuit. Elle-même.
Staff
je gère la place
Suprême
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Nuit
fidèle à la cour de la nuit
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Assya ignora la question de Merrill avec toute sa flegme. Tout était meilleur, que la pensée d’Asmodaï qui venait d'entrer dans la salle de bal pour se diriger vers quelqu'un d'autre. Une pensée qui n’aurait pas dû la perturber - pourtant un brasier naissait dans l'estomac de la Suprême. Parce qu’Asmodaï était son fiancé. L’Illyrien avait le don particulier de s'incruster sous sa peau et de s'insinuer dans son esprit. D'empoisonner ses pensées avec ses paroles et ses gestes. Tout autant que, par moment, il l'avait surpris de la plus agréable des manières. Allant jusqu'à la charmer. Un aveu qu'elle était loin de faire. Assya ne savait pas sur quel pied danser avec Asmodaï. Les mots de Merrill réussirent à la sortir de sa torpeur. De celle qui lui prenait lorsqu'elle se sentait en manque de confiance. Qui finirait par la trahir ? La question restait toujours en suspens chez Assya, qui ré-apprenait, tant bien que mal, à s'ouvrir aux autres. L’Odegaard était comme elle ce soir. Seul. Pour des raisons différentes mais tous deux partageaient bien des choses. L'intrusion dans les laboratoires de l’Aube. La perte de Neven Volyn. Alors, lorsqu'il avoua ne pas avoir mangé, Assya porta une main rapide sur son bras avant de la retirer, peu habituée aux gestes réconfortants.« Le chef de Sangravah est sans aucun doute celui qui m'inquiète le plus. Je le trouve… imprévisible. Nos échanges sont souvent houleux. Peut-être qu'il mérite une attention particulière… » Plus d'une fois, Assya avait pensé qu'il allait se jeter sur elle lors de réunions. Mais elle comprenait que les réticences des deux côtés, autant pour les Grands-Faes que les Illyriens. Ce chef là, comptait parmi ceux qui s'étaient laissés convaincre par ses pairs - un traditionaliste.« Mais enfin, nous n’allons pas passer ce bal à parler politique Merrill ! » Ajouta la Suprême en souriant. Si la politique était toujours dans un coin de sa tête, ses conseillers et les Seigneurs, eux, devaient profiter des moments de réjouissance. Son regard se tourna à nouveau vers Asmodaï en pleine discussion avec Zoya Sojka, membre de la famille de son ministre. Assya vida sa coupe de champagne d’une traite. Il avait finalement décidé de venir - sans l’approcher - dans un costume taillé pour lui à la perfection. Il était élégant, ce soir. Une prestance qui ne la laissait pas indifférente. Cet homme aimait la provoquer, dans tous les sens du terme. Est-ce qu'elle pourrait lui faire confiance ? Les prunelles d’Assya se détachèrent de la silhouette du Chef de Clan pour se tourner vers Merrill.« Je l’ai invité. » Pour une excellente raison.« Asmodaï est mon fiancé. Un communiqué officiel sortira dès demain. » Tout était déjà prêt. Assya cette fois, garda son regard sur l’Odegaard.
- Résumé:
- - Assya discute avec @Merrill Odegaard du Chef de Clan de Sangravah
- Assya avoue à Merrill qu' @Asmodaï Aràny est son fiancé
- Assya continue de regarder l’Illyrien du coin de l'œil, énervée de son comportement et… légèrement jalouse ? Ce qu'elle ne comprends pas.
Illyrien·ne du Jour
Pseudo : Rosie
Pronoms irl : Elle / She / Her
Faceclaim : Michiel Huisman | Avatar (midnightshadow)) + signature (mars) + crackship (rosie)
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Triggers : violences conjugales | maltraitance animale
Contents : //
Pronom : [IL]
Âge : [87 ans]
Race : [ILLYRIEN] - des plumes aux chaudes couleurs du sables du jour : brune aux bordures dorées
Cour : [NUIT] - aux pouvoirs du Jour
Résidence : [CAMP VEGA] - au nord de Velaris
Occupation : [CHEF DE CLAN] - depuis vingt ans
Statut social : [CHEF] - la noblesse à l'Illyrienne, éphémère
Statut civil : [CELIBATAIRE] - au cœur meurtris
Orientation sexuelle : [HETEROSEXUEL] - qui n'a d'yeux que pour les courbes féminines
Âme sœur : [HAYAT] - qu'il ne connaît pas
Allégeance : [NUIT] - pour le meilleur et pour le pire
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Aesthetic 2 :
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Bal des Marées
Sujet commun | 30 septembre 838 | outfit sans l'épée
Asmodaï sentait les regards sur lui, des orbes outrées, d’autres surprises. Il n’était pas à sa place, et l’on le lui faisait comprendre avec une violence silencieuse. L’Illyrien était fier, cependant, bien décidé à leur montrer, à tous, de quoi il retournait. Il n’était pas noble, pas comme ils l’entendaient, mais il portait ses propres responsabilités. Celles d’assurer l’avenir et la prospérité de son clan, et plus encore, de tous les clans de la nuit. Il préférait laisser les titres pompeux aux autres, à ceux qui se cachaient derrière. Il laissa les regards s’accumuler, souriant presque à l’outrage qu’il semblait leur faire. Un Illyrien, chef de clan, était bien plus haut placé que la moitié des nobles qui se trouvaient ici.
Ces ailes fièrement portées sur son dos, soigneusement remises en place. Il était impeccable, et, coupe de champagne en main, salua laComtesse . Se positionnant à ses côtés, son regard fut toutefois attiré versune autre .Nocturne , aux regards perçants, au visage fermés. Était-ce l’anxiété, de cette fin de soirée, l’attente insupportable du moment fatidique ? Caché derrière sa propre fierté, Asmodaï se posait la question, s’interrogeait. Il se surpris, même, à vouloir savoir. Il termina son verre d’une traite, rabrouant ses propres émotions, ses propres pensées, réaccordant toute son attention à celle qui avait compté, il y a bien longtemps.Zoya avait rapidement retrouvé le tutoiement, souvenir de jours lointain ou rien ne les séparaient, ni les jugements, ni même la toile de leurs vêtements. Il passa une main distraite sur sa tenue, comme pour appuyer les dires de laGrande-Fae. « Je ne voulais pas me faire remarquer, avoua-t-il, mensonge éhonté parce qu’il n’avait pas manqué de montrer ses ailes à tous. Mais je suis ravi de voir que cela te plaît, malgré les années. » confia-t-il, ne cachant même pas l’idée de venir la provoquer, la malice aux bords des yeux. Le temps était moins clément envers les Illyriens que les Grands-Fae. S’il avait du boire à la fontaine de jouvence pour garder ses traits de quarantenaire accomplis, ceux de son ancienne compagne restaient proches de ce qu’il connaissait. A la dernière question de la nocturne, Asmodaï laissa son regard se porter surelle . Il termina son verre d’une traite, et sans quitter laSuprême des yeux, céda enfin. « Assya Ozerov m’a invité, laissa-t-il tomber, et j’ai comme l’impression que cela ne fait pas l’unanimité. » Il haussa les épaules, à cette évidence, mais ne s’épancha pas sur le sujet. Parce qu’il ne pourrait rien y faire, parce qu’il avait pris sa décision autant qu’Assya .
« Mais je t’écoute, Comtesse, qu’apprend tu donc, cachée ici ? » s’enquit-il, curieux, le regard balayant la salle. « Eclaire moi sur tes pairs, Zoya » chuchota-t-il à son oreille, le prénom de son ancienne amante roulant sur sa langue avec une familiarité agréable. Il était curieux, l’homme, de découvrir le cirque devant lui, d’apprendre sur leur façon de faire. Ils étaient tous tirés à quatre épingles, mais les regards variaient. Il y avait de l’envie, de la jalousie, parfois de l’amour, il ne se servait à rien de le nier. Cela ressemblait néanmoins à un nid de serpent aux crocs chargés de venin. Un poison dont il savait se garder, mais pas en si grande quantité.Résumé
Asmo est avec Zoya mais il louche un peu sur Assya, il se retiens d’aller la voir. Il demande à Zoya de lui faire un topo sur les gens présent, pour bitcher un peu
Cité : @Assya Ozerov et @Zoya Sojka
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Burn like a star fire -- Here comes that electric spark in your eyes turning me into flames. All these explosions go off in the night, don't let them fade away. I'm under attack. There's no turning back. Lighting me up you're the weapon of desire ★
Grand·e Fae du Printemps
Pseudo : Rosie
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Comptes : Aslan Ghafa | Dugu Wanyin | Nyléa Kapoor | Asmodaï Aràny
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Triggers : violences conjugales | maltraitance animale
Contents : manipulation | jalousie
Pronom : [IL]
Âge : [49 ans]
Race : [GRAND-FAE]
Cour : [SPRING]
Résidence : [CORDOF] - dans la forêt humide au sud-est des terres printanières
Occupation : [TRESORIER] du domaine de Cordof
Statut social : [NOBLE]
Statut civil : [CELIBATAIRE]
Orientation sexuelle : [BISEXUEL]
Âme sœur : [LOUVE]
Allégeance : [TRINITE de PEONE]
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Aesthetic 3 :
Noble
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Printemps
fidèle à la cour du printemps
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Bal des Marées
Sujet commun | 30 septembre 838 | outfit
Ulysse était ailleurs, perdu dans ses pensées. Il souriait, lorsqu’on lui parlait, mais ne parvenait pas vraiment à garder les pieds sur terre. Il pensait àLouve , à ce qu’elle lui avait dit. Enceinte. de Lui. Trois. L’information tournait dans la tête de la pivoine sans jamais s’arrêter. De jour, comme de nuit, l’idée même de sa nouvelle réalité le gardait éveillé. Lui embrouillait l’esprit. Il avait tenté, de la garder avec lui, de lui offrir une autre vie. Il l’aurait fait, pour elle. Il se serait battu bec et ongle, aurait tout arrêté. Mais elle avait refusé, fière, indépendante. Libre. Les regrets se mêlaient avec l’inquiétude, avec l’angoisse. Celle de ne pas être à la hauteur, de ne pas trouver de solution. Celle de ne pas être auprès d’elle. Ou était Louve ? Faisait-elle attention, comme Ulysse le lui avait demandé, comme il le lui avait supplié ? La pivoine l’espérait, car son âme ne cessait de vibrer, de geindre, inquiète.
Il ne pouvait rien dire. Il garda tout pour lui, s’efforça de rester lui-même, de se montrer avenant avecsa fiancée . Il se laissa guider, Ulysse, presque ravi de ne pas avoir besoin de prendre davantage de décision. Il suivi sa compagne auprès du buffet, termina son premier verre d’une traite et laissa à l’autre une meilleure chance de durer le long de la soirée. Et tout se passa vite, devant ses yeux. Il se retrouva auprès desdiurnes , qu’il salua d’un geste respectueux de la tête. Avant que tout ne se fige, que les remontrances non dissimulées de sa compagne envers leSuprême Ghafa ne viennent à ses oreilles. Témoin outré, toutefois silencieux, Ulysse se liquéfia presque sur place. Bouché bée, choqué. Il observa avec un regard appuyé safiancée . Que lui était-il passé par la tête ? La pivoine écouta les paroles d’Ehsan et s’inclina respectueusement lors qu’il s’adressa à lui. « Votre Suprématie, votre proposition m’honneur, je vous en remercie sincèrement. » répondit-il, le respect et l’admiration aux bords des lèvres. Se faire inviter à Eliorh était d’une grande satisfaction, d’autant que la pivoine n’y avait jamais mis les pieds auparavant.
L’invitation et la compréhension duSuprême Diurne n’enlevait seulement rien à ce qu’avait faitCircé . La Pivoine s’excusa silencieusement auprès des autres membres du groupe, dont il ne connaissait les noms, et attrapa le poignet desa fiancée avant de s’éloigner. « Circé, je ne sais pas ce qui vous a pris d’alpaguer un Suprême de la sorte, souffla-t-il, se retenant de grogner. Il avait assez de choses en tête pour ne pas avoir à gérer des sorties de routes comme celle-ci. Sa Suprématie Ghafa est un allié de la famille de Péone, la vôtre, d’ici peu. » insista-t-il, laissant une légère pause entre eux avec de reprendre. « N’oubliez pas que vos actions se reflètent sur votre famille, mais également sur la mienne, et je ne saurais l’accepter. Quoiqu’il ait pu faire, ou non, Sa Suprématie Ghafa, et tous les autres Suprême, par ailleurs, ne peuvent être traiter de la sorte. » affirma-t-il, le ton dur, avant de relâcher la prise qu’il avait surCircé . « J’ai besoin d’air, tenez-vous. » demanda-t-il, avant de s’éloigner, attrapant au passage un autre verre, pour aller le boire plus loin, trouver un balcon disponible, et trouver de l’air frais.Résumé - Ulysse est pas bien
- Il est énervé du comportement de Circé, et le lui fait comprendre
- Il prend à boire et s’éloigne sur un balcon
Si vous voulez interagir avec Ulysse, prévenez moi avant qu’on en discute ensemble, sinon il boude tout seul et c’est très bien !
Cité @Circé Valois @Ehsan Ghafa @Louve Savelli
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Solitaire à un souffle de toi -- Tout n'est plus qu'ombre, rien ne ment. Le temps demeure et meurt pourtant. Tombent les apparences. Nos longs, si longs silences. Les amants se perdent en s'aimant.
Grand·e Fae du Printemps
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Triggers : aucun.
Contents : Abandon d'enfant, maladie, deuil, mort, violence.
Pronom : IL/HE/HIM •
Âge : 78 • Soixante-dix-huit ans. Une trentaine d'années physiquement.
Race : HIGH FAIRY • Longiligne créature aux traits parfaits et à la beauté éclatante.
Cour : SPRING CHILD • Il est l'incarnation de ce printemps perpétuel dont son corps tout entier entonne la chanson.
Résidence : ROSEHALL • Manoir ancestral des seigneurs du Printemps adoptée depuis son couronnement. Autrefois CAIRLOND, demeure familiale.
Occupation : SUPREME • Tête couronnée de la cour du Printemps, chef des armées et maître des floraisons. Il commande, ils obéissent.
Statut social : GREEN BLOOD • Du sang bleu coule dans ses veines bombées d'énergie vitale. Une naissance auréolée de grâces et de noblesse.
Statut civil : LONELY FLOWER • Célibataire. Il a renoncé au grand amour comme à l'idée du mariage. Maintenant, que sa lignée est perpétuée, il demeurera ainsi, figé dans sa solitude tant aimée.
Orientation sexuelle : FLOWERING • Une sexualité sans frontière s'ouvre à lui, un champ de possibles où dansent une multitude de fleurs différentes et contraires. Néanmoins, séduction et frivolité ne sont pas innées chez lui.
Âme sœur : ALANA VUNDAHR • Un souvenir, un fantôme passé, une douleur endormie. Il avancera seul en dépit de la révélation qui lui fut faite par la Mère.
Allégeance : APPLE & SPRING • Servir le Printemps tout en maintenant l'intérêt Valois. Tel est son but.
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j'écris des rps à gogo
Faire ce qui s’imposait. Donner le tempo pour tout le continent. Ambroise n’était pas certain d’avoir ni l'étoffe d’un tout-puissant, ni d’un la force de soutenir le monde à bout de bras. Il aurait dû échanger avec Niniel à ce sujet… Mais pour qui serait-il passé ? Une personne capable de s’estimer digne de la Mère, digne de diriger le continent… Alors qu’il n’en était rien. Il comprenait à peine comment fonctionnaient les rouages du Printemps. Comment appréhender ceux d’Evanor ? Plus rapidement encore. Ambroise était un cheval de trait, pas une monture pour gagner des courses hippiques. Il lui fallait du temps pour apprivoiser son environnement. Et du temps, c’était pile ce qui manquait à celui qui occupait la fonction de Haut Suprême. «
L’arrivée soudaine d’Ehsan sortit Ambroise de son observation. Le Valois appréciait grandement le Suprême du Jour. Ils étaient différents sur certains points, certes. Ehsan était aussi lumineux qu’Ambroise pouvait paraître terne, et il semblait nager au milieu de cette foule sociable et compacte aussi aisément qu’un poisson… Tandis qu’Ambroise paraissait bien plus pataugé tel un canard dans la bouillasse. Mais ils avaient de nombreux sujets en commun, des points qu’ils échangeaient à loisir, généralement par écrit. Il était un soutien de la première heure pour Ambroise, et le Printanier avait renvoyé le geste à son voisin frontalier. «
- Résumé:
- Ambroise papote avec @Mahaut de Boissieux. Il observe @Circé Valois de loin, et l'arrivée de l'Illyrien inconnu, avant de recevoir la visite d'@Ehsan Ghafa. Il zieute du coin de l'œil la scène entre sa cousine et @Ulysse de Péone. Il se promet de passer ultérieurement un savon à Circé et de trouver un moment pour échanger avec Ulysse au cours du Bal.
Grand·e Fae de l'Aube
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Comptes : Nehtë x Ambroise x Chunhua x Gabrielle
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Triggers : aucun.
Contents : abandon d'enfant.
Pronom : ELLE/SHE/HER • Sans doute que si le mot féminité n'avait pas existé, il aurait fallu l'inventer pour elle.
Âge : 81 • Quatre-vingt-un ans. Quarante ans physiquement.
Race : FAIRY BABY • Grande Fae. Haute Féerie. Sublime créature.
Cour : HALF GREENY BABY • Celle qui de la fanaison ne connait aucune chanson. Verdoiement éternel et floraison perpétuelle. Croître avec vigueur. Printemps, évidemment. HALF SHINNY BABY • Aussi belle que l'aurore, aussi éclatante que le soleil levant... Mais cela, elle ne le su que plus tardivement.
Résidence : LIGHTHOUSE • Dans la tour la plus haute d'Elysium. Inutile de chercher. Levez la tête, simplement.
Occupation : HIGH WHITE • Auréolée de magie. Prosélyte dorée. Immaculée. Haute-Prêtresse.
Statut social : SIMPLE BLOSSOM • Du commun quoiqu'elle n'ai rien de commune. Son sang n'est pas bleu et son origine est inconnue.
Statut civil : SINGLE BLOOM • Célibataire.
Orientation sexuelle : MALE FLOWER • N'est-ce pas par le jardinier qu'une fleur est la mieux révérée ?
Âme sœur : LOST SOUL • Inconnue à ce jour.
Allégeance : FAITH & PEACE • Officiellement la Cour du Crépuscule. Plus encore l'Ajah Blanche. Mais finalement, n'est-il pas plutôt question de sa propre ascension ?
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Prêtresse
je répands la foi
Crépuscule
fidèle à la cour du crépuscule
Ajah Blanche
maître de la magie
Chair
magie de l'aube
Bal des Astres
j'étais au dernier bal de 837
Figure discrète au milieu du flot grossissant d’invités, Marjolaine observait avec une forme d'intérêt le ballet incessant de drames qui se jouaient sous ses yeux. Elle constatait avec amusement que la noblesse avait réellement à cœur de se divertir, notamment en se jouant les uns des autres. Tout était à observer. Chaque entrée, chaque regard, chaque sourire, chaque danse accordée. Rien n’était sans sens. Pourvu que vous eussiez le code pour déchiffrer les événements qui se profilaient sous vos yeux. Une arrivée inattendue, pourtant, sembla bousculer les drames nobiliaires et les histoires de cœur qui prenaient place dans cette salle qui, de Bal des Marées, prenait de plus en plus l’allure d’un théâtre grivois, une comédie burlesque. Celle d’un inconnu. Marjolaine, elle-même, se retrouva déconvenue au moment d’observer le visage de cet Illyrien qui ne manquait pas d’audace… Il ne savait visiblement pas dans quoi il venait de mettre les pieds. Pas plus que la personne qui l’avait invité. Un panier de crabes, une fosse aux serpents… Le Bal des Marées était tout sauf un endroit sain et protecteur pour faire ses débuts en société. Mais était-ce seulement de cela qu’il s’agissait ? Marjolaine n’avait pas son mot à dire sur la question. Il semblait évident que la Haute Suprême avait autorisé la venue de cet homme au plumage mordoré. Le bruit provenant de l'attroupement de Péone et diurne laissa l’Immaculée de marbre. Elle savait que les affaires de cœur ne disaient pas leur nom au sein de l’auguste noblesse d’Evanor… Tout était affaire de richesse, de pouvoir, d’influence, et parfois de coucherie. Très peu d’amour. La Mère ne pouvait trouver un chemin dans des cœurs muselés et opprimés par des carcans de fer. Fendant la masse compacte de courtisans, le port altier, la colonne droite, elle se dirigea avec curiosité vers la Ministre du Printemps, écartée par son Suprême le temps d’un échange au sommet. «
- Résumé:
- Marjolaine observa la foule avec une forme d'amusement avant de profiter d'un écart de @Mahaut de Boissieux pour venir lui faire la conversation.
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